mercredi 30 mars 2011

4 façons de jouer rebond du Japon

People walk past a display showing stock indices in Tokyo March 23, 2011.  REUTERS/Lee Jae-Won
Si vous êtes un investisseur, comment devriez-vous ce qui concerne la crise japonaise? Si vous êtes un court-circuit des actions japonaises? Devriez-vous miser fortement sur les entreprises coréennes à prendre la relève? Qu'en est-il des entreprises basées en Amérique comme Apple et Hewlett-Packard qui sont tributaires de la chaîne d'approvisionnement japonais?
Il n'ya pas de réponses claires que les chaînes d'approvisionnement sont souvent aussi complexes que les produits dont les parties en dépendent. Vous avez besoin de regarder au-delà du Japon et des manchettes en cours pour explorer un certain nombre de scénarios.
Le Japon sera blessé dans le court terme. Bien que les ingénieurs japonais et éventuellement les planificateurs crise fera bouger les choses à nouveau, dans l'intervalle de la nation d'île est à court d'électricité. Contrairement aux produits du pétrole et d'autres, ils ne peuvent pas facilement pipe à plusieurs électrons à partir d'un bateau ou avion. Une grille affaibli la «faible ou pas de la productivité dans les usines et les baisses de tension dans les immeubles de bureaux. Pièces ne sont pas d'être expédiés pour tout, des téléphones cellulaires pour automobiles.
Autre que le problème de rayonnement provenant des réacteurs endommagés, manque de puissance est la menace la plus immédiate pour le secteur industriel. Si vous êtes vraiment baissière sur l'industrie japonaise de rebondir rapidement, vous pouvez parier contre leurs stocks en achetant un fonds inverse négociés en bourse (ETF), comme le fonds ProShares ultracourte MSCI Japon. Le fonds promet à un rendement de 200 pour cent-jour sur un indice des actions japonaises - en cas de chute de référence. C'est un moyen à haut risque de «court-circuiter" le Japon et seulement pour les opérateurs disciplinée.
Le Japon va rebondir. Je penchent plus vers ce scénario, bien que le moment exact est impossible à dire. Certaines entreprises seront touchées plus que d'autres. Sauf si vous savez comment leurs chaînes d'approvisionnement de travail, il serait difficile de trier la liste des gagnants et des perdants. Si vous êtes généralement optimistes sur le pays, vous pouvez aller "long" et acheter un ETF comme le iShares MSCI Japan. Il suffit de garder à l'esprit que ce sera difficile va. Comme BMO Marchés des capitaux notes: "coupures de courant pourrait provoquer une pénurie de la technologie et les machines, la création d'isoler les pressions sur les prix."
L'Asie est toujours un bon pari. Comme il se reconstruit, le Japon va s'appuyer fortement sur ses voisins de la Chine, la Corée du Sud, les Philippines, le Vietnam et l'Inde. Est-ce que les Japonais ne délocalisation importante de la fabrication? Ils auront certainement besoin d'acheter des pièces et des matières premières dans leur phase de récupération. Dans l'ensemble, l'Asie est un investissement de croissance, de toute façon. Le Vanguard MSCI Pacifique ETF investit dans près de 500 actions en Asie ainsi que l'Australie et la Nouvelle-Zélande. Si vous voulez encore des stocks d'Asie, mais nous voulons laisser de côté le Japon, considèrent l'iShares Asia ex-Japan fonds.
Investir dans le monde entier. Si vous souhaitez simplement cesser de s'inquiéter de quel pays ou de pays fera bien, développez vos avoirs à la plupart des marchés boursiers dans le monde. Il est logique pour tout portefeuille buy-and-hold et élimine une grande partie de la conjecture. Un de mes choix préféré est le Vanguard Total World Stock ETF, qui suit près de 3000 titres de l'indice FTSE All-World.
Je serais le dernier à parier contre les Japonais. Ils font preuve de compassion, de ressources, savoir-faire pour réunir et sont de très bons ingénieurs. Ils vont rebondir de l'un des plus grands désastres depuis 1945.
Pour être juste envers les ours au Japon, si, il ya encore beaucoup que les difficultés que l'économie. Il a été contesté pour la croissance-plus d'une décennie, peut toujours envoyer des ondulations énormes à travers l'économie mondiale et est assis sur plus de 1 billion de dollars de la dette des États-Unis. Ils peuvent encaisser dans une feuille de papier du Trésor américain, ce qui pourrait rock marchés mondiaux du crédit.
Bien que je ne pense pas que la reconstruction du Japon va déclencher un désastre économique, c'est quelque chose d'intéressant à regarder de près. Personne ne sait comment cela va se jouer et vous devez toujours garder un œil sur votre horizon de placement.

Tunisie gèle les actifs de la famille Kadhafi: source gouvernementale

Voisin de la Libye Tunisie a gelé les avoirs appartenant à la famille du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, une source gouvernementale tunisienne a déclaré jeudi.

Les pays occidentaux, l'Organisation des Nations Unies et l'Union européenne ont déjà gelé gouvernement libyen et les actifs de la famille Kadhafi dans le cadre d'un ensemble de sanctions imposées après la répression de la Libye sur une révolte contre la domination de Kadhafi.

"La Tunisie a gelé les avoirs de Kadhafi et cinq membres de sa famille suite à une décision prise par l'Organisation des Nations Unies," la source, qui ne voulait pas être identifiée, a déclaré à Reuters.

Le gel des avoirs en Tunisie est susceptible d'avoir un impact significatif parce que la Libye a des dizaines d'investissements là-bas, y compris des hôtels, une chaîne de stations-service et une participation dans un terminal pétrolier.

La plupart de ces actifs sont détenus par la Jamahiriya instruments d'investissement publics, mais beaucoup d'entre eux sont contrôlés de facto par les membres de la famille Kadhafi.

La Tunisie est également utilisé par l'élite de la Libye en tant que base pour les banques, les vacances et les soins de santé, une pratique qui remonte aux années 1980 et 1990, lorsque les sanctions internationales contre la Libye voulait dire qu'ils avaient un accès limité à ces services à domicile.

Syrie Live nouvelles - Mars 30



Comme la situation s'aggrave en Syrie, nous vous mettez à jour avec les derniers développements de nos correspondants, les agences de nouvelles et les citoyens à travers le monde.(Toutes les heures sont locales en Syrie GMT +2)

    
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3:00 pm

      
Bonjour et bienvenue à notre couverture continue de l'agitation en Syrie.

      
Vous pouvez lire notre article principal sur la première adresse du président Assad à la nation depuis les manifestations anti-gouvernement a commencé ici.

      
Comme il est entré au Parlement pour le discours de mercredi, les législateurs scandaient «Dieu, la Syrie et Bachar seulement!" et "Nos âmes, notre sang nous nous sacrifions pour toi Bachar".

      
Le discours est considéré comme un test crucial pour son leadership et celui qui peut déterminer l'avenir de la Syrie.

      
Assad a déclaré qu'il s'agissait d'un "moment exceptionnel" et un "test pour notre unité".

      
Il a dit des Syriens qui avaient manifesté contre son régime avait revendications légitimes et a déclaré que le gouvernement a appuyé l'idée de réforme.

          
"Nous ne pouvons pas dire que tout le monde qui est sorti [dans la rue] est un conspirateur. Soyons clairs à ce sujet", a dit Assad.

     
    
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2:00 pm

      
Certaines personnes se sont rassemblées dans les rues de Damas scandaient: "Les gens veulent Bachar al-Assad"
    
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1:55 pm

      
Le président Assad: "Certaines personnes sur certaines chaînes satellite viendra dire que ces réformes ne sont pas assez, ne vous fâchez pas avec ces chaînes par satellite, ils tombent dans les mêmes pièges tout le temps, ils mentent et ils commencent à croire leurs propres mensonges .
    
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1:48 pm

      
"L'ennemi toujours essayé de nous affaiblir. Succès nous fait toujours assurée. Après chaque bataille, nous devons nous maintenir en dehors de complots.
    
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Timestamp:
      
1:47 pm

      
Assad dit:

          
Je sais que beaucoup de gens ont attendu ce discours, mais je voulais attendre que je vois une image complète clairement, nos ennemis sont travaillons très fort pour frapper à la Syrie ".

    
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Timestamp:
      
1:46 pm

      
Le président Bachar al-Assad: "les derniers événements de notre unité de test, ceux-ci sont répétées chaque maintenant et puis, à cause de la conspiration contre la nation que nous volontiers surmonter ces difficultés..
    
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1:44 pm

      
Le président syrien Bachar al-Assad parle à la nation au milieu de l'agitation dans le pays.
    
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09h41
      
Un enveloppement des derniers développements en Syrie par Omar al-Saleh


    
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Timestamp:
      
08h20

      
L'utilisateur de Twitter @ shinawatra2011 a écrit: le gouverneur de Tartous en Syrie appelle ses employés à rallier tout le monde à soutenir le président Assad.

      
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Timestamp:
      
08h13

      
Assad est de s'adresser à la nation le mercredi, selon un haut fonctionnaire, dans son premier discours en deux semaines de la dissidence sans précédent.

      
Il est prévu d'élaborer une série de réformes annoncé la semaine dernière, au milieu d'une vague de dissidence et de protestations réclamant une réforme et une plus grande liberté dans le pays, qui a été dirigé par le parti Baas depuis 1963.

La belle vie sur Twitter du cobra disparu du zoo de New York


Un cobra égyptien disparu la semaine dernière à New York du zoo du Bronx est "réapparu" sur le site de microblogging Twitter où le serpent venimeux raconte ses aventures de touriste à Manhattan.
Le compte Twitter BronxZoosCobra, prétendument celui du jeune cobra qui a disparu de la Maison des reptiles du zoo samedi, comptait 115.000 abonnés (followers) mercredi matin.
"Sur le toit de l'Empire State Building! Vu d'ici, les gens ressemblent à des petites souris. De délicieuses petites souris", peut-on lire sur le compte Twitter.
Limité aux 140 caractères maximum des messages, le reptile dit son intention d'assister à une comédie musicale à Broadway ou encore d'aller écouter du jazz.
Le cobra est rapidement devenu un parfait New-Yorkais, au fait des adresses à la mode. "Je me régale avec un petit gâteau chez Magnolia Bakery. Cela va directement sur mes hanches. Oh mais attends. Je n'ai pas de hanches. Cool!"
"Donald Trump songe à se présenter à la présidentielle ? Ne vous inquiétez pas, je m'en charge. Où se situe la Trump Tower exactement ?", peut-on également lire sur Twitter.
Le zoo du Bronx a expliqué qu'il pensait que le serpent était tapi quelque part dans la Maison des reptiles, qui reste fermée au public pour le moment, et qu'il pourrait se passer plusieurs semaines avant qu'on ne le retrouve.
Joint par e-mail par Reuters, la personne derrière le compte Twitter a répondu: "Pourquoi tout le monde trouve tellement improbable qu'un serpent du Bronx puisse se promener tranquillement dans la ville en tweetant sur son iPhone ?".
"Sommes-nous devenus à ce point cyniques ?"

Les insurgés libyens reculent dans le golfe de Syrte


Face à une armée régulière supérieure en nombre et meilleure tacticienne, les insurgés libyens ont battu retraite mercredi sur le littoral du golfe de Syrte, montrant leur faiblesse en l'absence d'un appui aérien allié capable de retourner la situation en leur faveur.
Ces revers sont intervenus deux jours seulement après un week-end de victoires en série pour les adversaires de Mouammar Kadhafi repoussés de ville en ville sur la route stratégique longeant le littoral méditerranéen en direction de Syrte, ville natale du "Guide".
L'armée restée fidèle au dirigeant libyen a, dans un premier temps, tendu une embuscade à un convoi hétéroclite de pick-up et de voitures particulières rebelles devant Syrte avant de les déborder dans le désert à l'occasion d'une manoeuvre demandant la sorte de discipline qui fait entièrement défaut aux insurgés.
Les localités de Nofilia, Bin Djaouad et Ras Lanouf sont ainsi rapidement tombées l'une après l'autre dans le cadre de la contre-offensive éclair de l'armée de Mouammar Kadhafi.
Les rebelles n'ont apparemment pas essayé de tenir à Brega, la ville située après Ras Lanouf, et ont poursuivi en direction d'Ajdabiah où certains d'entre eux se sont regroupés. Des dizaines de pick-up équipés de mitrailleuses se tiennent à la sortie ouest de cette ville où la confusion paraît grande.
Interrogé sur ce qui se passe, un insurgé répond: "On ne sait pas. Ils disent qu'un groupe de partisans de Kadhafi est peut-être en train d'arriver en provenance du Sud."
Cela voudrait dire un autre mouvement latéral important à travers les immensités désertiques.

Dans toutes les localités, l'armée loyaliste s'est livrée à de violents bombardements de blindés, de pièces d'artillerie et de roquettes Grad montées sur des camions pour faire fuir ses adversaires.
Sans soutien aérien occidental, les insurgés semblent incapables d'avancer ou même de tenir des positions face aux blindés de Mouammar Kadhafi.
Des avions militaires ont bien survolé mercredi le champ de bataille, sans toutefois bombarder apparemment les forces régulières libyennes.
A l'ouest de Syrte, le blocus du port de Misrata, ville tenue par les insurgés à 220 km à l'est de Tripoli, a été levé, ce qui a permis à deux navires de débarquer de l'aide humanitaire et d'évacuer des blessés, a déclaré un porte-parole des rebelles. Selon lui, les combats de mardi ont fait 18 morts parmi la population civile.
Des escarmouches opposent toujours dans la troisième ville de Libye les insurgés aux forces gouvernementales, dont les chars poursuivent leurs bombardements, a-t-il dit.
Les forces rebelles manquent de formation, de discipline et de commandement, sans parler de leur équipement souvent hétéroclite et parfois obsolète. Malgré leur courage et leur enthousiasme, ils ont tendance à s'égailler comme une volée de moineaux à chaque fois que les gouvernementaux commencent à tirer de façon nourrie.
"Cette révolution n'a que cinq semaines, elle est très organisée au plan politique", explique Moustafa Gheriani, porte-parole de l'insurrection à Benghazi. "Il faut normalement six mois pour former un soldat (...) Il s'agit ici de simples citoyens qui prennent des fusils pour défendre leurs biens."
AVERTISSEMENT DE LA RUSSIE
Sur le plan diplomatique, au lendemain de la conférence de Londres, la Russie a mis en garde les Occidentaux contre la tentation d'armer les adversaires de Mouammar Kadhafi et souhaité que l'avenir de la Libye se forge sans ingérence extérieure.

Le Premier ministre britannique, David Cameron, en pointe dans l'affaire libyenne avec le Français Nicolas Sarkozy, n'a pas exclu mercredi la fourniture d'armes aux insurgés tout en précisant ne pas avoir pris de décision à ce sujet.
A Tripoli, le ministère des Affaires étrangères a estimé que la proposition française d'armer les rebelles était contraire aux résolutions des Nations unies et équivalait à soutenir le terrorisme.
A Pékin, le président chinois Hu Jintao a déclaré à son homologue français que la sortie de crise passait par le dialogue et non la force.
A Kampala, le gouvernement ougandais a fait savoir qu'il serait éventuellement prêt à accueillir Mouammar Kadhafi si le n°1 libyen acceptait de quitter le pouvoir qu'il exerce depuis plus de 41 ans sous la pression internationale.
Enfin, les autorités de Tripoli ont expulsé mercredi l'un des envoyés spéciaux de Reuters en Libye, Michael Georgy, sans fournir d'explications.

L'ASN étudie un moratoire sur la construction de Flamanville 3


L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) pourrait envisager de suspendre la construction du réacteur EPR de Flamanville 3, premier de ce type en France, en réaction à la crise nucléaire japonaise, a déclaré mercredi son président, André-Claude Lacoste.
A la question de savoir si l'accident de la centrale nucléaire de Fukushima déclencherait un moratoire sur le projet d'un EPR à Penly, le président, s'exprimant devant le Parlement, a estimé qu'il restait encore du temps pour réfléchir au cas Penly, qui n'a pas encore été mis en chantier.
Il a ajouté qu'il faudrait étudier en priorité la suspension de la construction de l'EPR à Flamanville, fourni par Areva et qui doit être opéré par EDF, au Nord-Ouest du pays.
"Je pense que si la question d'un moratoire se pose, et nous nous la posons, ce sera sur la construction de Flamanville 3", a déclaré André-Claude Lacoste.
"C'est typiquement le genre de réflexion que nous aurons dans les prochains mois", a-t-il poursuivi.
L'entrée en service du réacteur de Penly, qui sera opéré par l'électricien EDF, est attendue pour 2017.
Le site de Flamanville, où la construction a déjà démarré, a deux ans de retard sur l'échéancier initialement prévu.

Boeing et Gecas finalisent une commande de 777


Boeing et Gecas, filiale de crédit bail de General Electric, ont annoncé mercredi qu'ils avaient finalisé une commande portant sur 10 modèles d'avions 777 à portée étendue.
Cette commande représente environ 2,8 milliards de dollars (1,98 milliard d'euros) d'après les prix catalogue, purement indicatifs.
Dans un communiqué, GECAS, explique que les nouveaux appareils 777-300R l'aideront à satisfaire la demande croissante pour les avions commerciaux long courrier.
Cette dernière annonce porte à 53 le nombre d'appareils 777 commandés par GECAS, dont 41 modèles 777-300R.
Ce dernier permet de transporter 365 passagers et de voler sur une distance pouvant aller jusqu'à 7.930 miles nautiques.

L'idée d'une holding commune pour Nissan et Renault étudiée


Nissan et Renault se dirigent vers l'établissement d'une compagnie holding qui coifferait les deux constructeurs automobiles sous un même toit, a dit Carlos Ghosn, président des deux groupes, dans un entretien publié par le journal Nikkei.
Si ce projet voyait le jour, ce serait la première fois que des importants groupes automobiles de pays différents sont regroupés au sein d'une entité unique, a souligné le quotidien économique.
La mise sur pied d'une telle entité prendrait deux à trois ans, a poursuivi Carlos Ghosn, cité par le Nikkei.
Interrogé au sujet des informations du journal japonais, un porte-parole a dit : "Ce n'est pas une annonce", ajoutant que Renault avait déjà dit par le passé qu'une forme de rapprochement avec Nissan était "à l'étude".
Lors d'un entretien accordé le 25 février à Reuters, Carlos Ghosn avait déclaré que la structure du capital de l'alliance Renault-Nissan allait être réexaminée afin d'améliorer l'équilibre entre les deux groupes.
Il avait toutefois dit à l'époque que cela ne passerait pas par une fusion entre les deux constructeurs, ajoutant espérer aboutir à une décision d'ici trois ans.
Selon Nikkei, le président de Renault et de Nissan a également dit que les intérêts des actionnaires devaient être pris en considération, voulant dire par là, toujours selon le journal, que Renault et Nissan continueraient de bénéficier d'une cotation séparée et que le gouvernement français, qui détient 15% des parts du constructeur français, aurait son mot à dire.
D'après le projet évoqué par Carlos Ghosn, le fabricant russe AvtoVaz, détenu à 25% par Renault, de même que les filiales roumaine et sud-coréenne du groupe français, Dacia et Renault Samsung Motors, seraient également chapeautés par la holding unique, ajoute le Nikkei.
Renault détient actuellement 44,3% de Nissan tandis que ce dernier a 15% du groupe français.
Placer les entités de cinq pays différents sous un parapluie commun permettrait à la fois de développer la croissance dans ces pays et de réduire les dépenses liées à la construction d'usines et à la mise en place de réseaux commerciaux, écrit encore le Nikkei.
Kavyanjali Kaushik, avec Marie Mawad à Paris, Benoit Van Overstraeten pour le service français

Carrefour & Blue Capital sous la pression de Knight Vinke


La direction de Carrefour et les deux grands actionnaires du distributeur, les fonds Colony et Groupe Arnault, vont devoir faire face aux pressions d'un nouvel arrivant, l'américain Knight Vinke, opposé aux projets de scission du groupe français.
Knight Vinke, qui détient plus de 1% du capital de Carrefour, s'oppose au projet de scission d'une partie de la filiale foncière (Carrefour Property) et de la totalité de la filiale de hard discount (Dia) du deuxième distributeur mondial.
"Nous confirmons parler à de grands actionnaires de Carrefour pour recueillir leur opinion concernant les projets récemment annoncés par Carrefour", a déclaré à Reuters mercredi un porte-parole du fonds, confirmant une information du magazine Challenges faisant état de l'opposition du fonds à la stratégie du groupe (voir
Interrogé, Carrefour s'est refusé à tout commentaire.
Amundi, qui détenait fin 2010 0,76% du capital de Carrefour selon des données Reuters, a confirmé de son côté avoir été contacté par Knight Vinke.
"En regardant l'historique de Knight Vinke, on voit qu'il a eu un certain succès quand il a voulu influer sur la stratégie des groupes dans lesquels il était entré", commente un analyste qui a souhaité garder l'anonymat.
Le fonds activiste américain a révélé détenir sa participation juste une semaine après l'annonce d'un projet de scission de Carrefour mal accueilli par les investisseurs.
Pour contrer les plans de Carrefour, il lui faudra, selon les calculs des analystes, convaincre environ 25% des actionnaires du groupe, en faisant l'hypothèse qu'environ 75% des votants sont représentés en moyenne en assemblée générale extraordinaire et qu'il faut obtenir le tiers des votes pour faire capoter le projet.

L'assemblée générale de Carrefour aura lieu le 21 juin.
UN FONDS ACTIF DANS D'AUTRES AFFAIRES
Knight Vinke a pour tactique d'acquérir de petites participations dans de grands groupes pour ensuite persuader les actionnaires de changer la stratégie de l'entreprise concernée.
Il a déjà fait pression sur le groupe bancaire HSBC et a contribué à la scission et l'introduction en Bourse de Suez Environnement pour faciliter la fusion entre GDF et Suez.
Après deux profits warning successifs, le numéro deux mondial de la distribution derrière l'américain Wal Mart était depuis des mois sous la pression de Blue Capital, la structure regroupant les deux grands actionnaires du groupe, le fonds Colony et le groupe Arnault, holding familiale de Bernard Arnault, PDG de LVMH (qui détiennent 14% du capital et plus de 20% des droits de vote), pour externaliser de la valeur.
Les dividendes exceptionnels versés aux actionnaires à l'occasion de la scission atteindront, selon Carrefour, 4,09 milliards d'euros.
Actionnaires de référence du groupe depuis mars 2007, Colony et Groupe Arnault ont acquis leur participation pour un prix moyen évalué à environ 47 euros par action, un niveau encore très supérieur au cours actuel du titre, et auquel s'ajoute le coût de la dette contractée pour financer leur participation.
Le projet de mise en Bourse de 25% de Carrefour Property et de la totalité de Dia, annoncé le 2 mars, a été sanctionné par le marché. Les investisseurs s'interrogent sur le bien-fondé d'une opération voulue par les principaux actionnaires et sur les marges de manoeuvre dont dispose le groupe pour mener à bien son plan de redressement.
Le titre Carrefour se traite à 31,7 euros mercredi à la Bourse de Paris, enregistrant une hausse de 2,4% depuis le début de l'année, pour une capitalisation boursière de 21,5 milliard d'euros. Depuis l'annonce du projet de scission, le titre a abandonné 9,6%.

Le FMI relève sa prévision de croissance dans la zone euro


Le Fonds monétaire international (FMI) a relevé mardi sa prévision de croissance pour la zone euro en 2011, à +1,6% contre +1,5% prévu initialement, selon l'agence de presse italienne Ansa, qui s'est procurée un rapport du FMI sur les perspectives économiques mondiales.
Pour 2012, le FMI table désormais sur une croissance de 1,8%, au lieu des 1,7% annoncés lors d'une précédente estimation.
En revanche, l'organisme international abaisse ses perspectives de croissance aux Etats-Unis en 2011, de +3% à +2,8% mais relève celles de 2012, de +2,7% à +2,9%.
Conséquence du violent séisme qui a secoué le pays début mars, le Japon voit sa perspective de croissance abaissée en 2011 à +1,4%, contre +1,6% prévu initialement. En 2012, l'estimation est en revanche relevée de +1,8% à +2,1%.
Le FMI maintient ses perspectives sur la croissance chinoise, à +9,6% en 2011 et +9,5% en 2012, ainsi que sa prévision de croissance mondiale en 2011 à +4,4%.
Les estimations de croissance pour l'Inde ont été révisées à la baisse pour 2011 et 2012, passant respectivement de +8,4% à +8,2%, et de +8,0% à +7,8%.
Le rapport sera publié en avril par le FMI.

La France compte sur Pékin pour sa présidence du G20


Nicolas Sarkozy a défendu mercredi la nécessité de discuter avec la Chine de tous les sujets, y compris ceux qui sont source de désaccord, et dit qu'il comptait sur Pékin pour faire avancer les priorités de la présidence française du G20.
Le chef de l'Etat français, qui entamait une courte visite en Chine, a justifié en outre les investissements des entreprises françaises dans le pays, déclarant qu'elles ne pouvaient être absentes du marché de la deuxième économie mondiale.
Même si la France et la Chine ne sont pas d'accord sur tout, "on a obligation de discuter pour se comprendre et pour faire avancer les choses", a-t-il dit lors de l'inauguration des locaux de la nouvelle ambassade de France dans la capitale chinoise.
"La France, présidente du G20, a besoin de la participation de la Chine pour faire avancer tous les grands dossiers qui vous concernent vous, les chefs d'entreprise", a-t-il ajouté devant un public qui comprenait des représentants de plusieurs groupes français implantés en Chine.
Il a évoqué plus particulièrement "les prix des matières premières, qui explosent", l'instabilité monétaire "qui risque de réduire à néant les efforts de compétitivité que vous faites" ou encore "la paix dans le monde".
Nicolas Sarkozy ouvrira jeudi à Nankin, dans le sud-est de la Chine, les travaux d'un séminaire de réflexion sur les moyens de réformer le système monétaire international, une des priorités de sa présidence du G20.
La France estime que le fait que la Chine, souvent accusée de maintenir sa monnaie artificiellement sous-évaluée, ait accepté d'accueillir la manifestation est un succès en soi.
Avant de partir mercredi soir pour Nankin, Nicolas Sarkozy, dont c'est la cinquième visite en Chine depuis son arrivée à l'Elysée, a rencontré son homologue chinois, Hu Jintao, pour discuter des relations bilatérales et des grands sujets diplomatiques de l'heure, au premier chef la situation en Libye.
Bien qu'elle se soit abstenue lors du vote le 17 mars de la résolution de l'Onu qui a autorisé une action militaire internationale pour protéger les opposants au colonel Mouammar Kadhafi, la Chine multiplie depuis les mises en garde et a critiqué sévèrement, via ses médias officiels, les interventions militaires en Libye de la coalition internationale.
"Il n'y a pas de divergences mais des nuances, une différence d'appréciation", a-t-on rapporté de source proche de la présidence française après l'entretien entre Nicolas Sarkozy et Hu Jintao.
"Face à une interrogation un peu inquiète de la partie chinoise, Nicolas Sarkozy a rappelé les termes de la résolution 1973 dont l'objet est de protéger les populations civiles", a-t-on ajouté. "Il est clair que les frappes s'arrêteront dès que les troupes de Kadhafi retourneront dans leurs casernes."
Plus de 2.000 entreprises françaises sont présentes en Chine et Nicolas Sarkozy a souligné qu'elles étaient guidées avant tout par le souci de s'ouvrir à ce grand marché.
"Dans la majorité des cas, cela ne conduit pas à fermer des usines et supprimer des emplois en France", a-t-il dit, ajoutant: "Votre présence ici est indispensable pour s'inscrire dans les perspectives du marché chinois et participer à la compétition économique qui s'y joue".
COOPÉRATION NUCLÉAIRE
Il les a invitées à ne pas hésiter "à expliquer l'impact positif que vos activités en Chine peuvent avoir sur la croissance et sur l'emploi en France".
Venu en Asie spécialement pour le séminaire du G20 de Nankin, Nicolas Sarkozy a décidé de prolonger sa visite par une courte étape à Tokyo, "pour porter l'expression de la solidarité de la France à l'endroit de nos amis japonais, qui ont été frappés par une catastrophe considérable".
Premier dirigeant étranger à se rendre au Japon depuis le tremblement de terre et le tsunami dévastateurs qui ont fait des dizaines de milliers de morts le 11 mars, il rencontrera une partie de la communauté française locale avant de s'entretenir avec le Premier ministre, Naoto Kan.
La France a dépêché des experts pour aider les autorités japonaises à tenter de reprendre le contrôle des réacteurs endommagés de la centrale nucléaire de Fukushima.
Lors de leur entretien, Nicolas Sarkozy et Hu Jintao sont convenus de renforcer leur coopération en matière de sécurité nucléaire et de travailler main dans la main pour tirer toutes les conséquences de la catastrophe de Fukushima, rapporte une source française.
Selon cette même source, Hu Jintao a fait part de son inquiétude sur l'incidence des mouvements qui secouent le monde arabe sur les équilibres de l'économie mondiale, en particulier les marchés pétroliers.

Le déficit public autour 7,2% du PIB en 2010, dit Baroin


Le déficit public de la France a représenté autour de 7,2% de son produit intérieur brut (PIB) en 2010, un chiffre meilleur que prévu, a annoncé mercredi le ministre du Budget, François Baroin.
Le gouvernement prévoyait officiellement un déficit à 7,7% mais il s'était dit assuré ces dernières semaines que le chiffre définitif serait inférieur, sans toutefois réviser formellement son objectif.
"Les résultats de l'évolution des déficits publics dans notre pays sont plus qu'encourageants puisque nous aurons une réduction de l'ordre d'un demi-point" (0,5%), a dit François Baroin sur France 2.
L'Insee doit publier jeudi matin les chiffres détaillées du déficit public 2010 et de la dette publique française à fin décembre.
En 2009, le déficit public, creusé par la récession et les dépenses publiques de soutien à l'économie, avait atteint 7,5% du PIB contre 3,3% un an plus tôt.
Le projet de loi de programmation des finances publiques pour la période 2011-2014 prévoit que le déficit public sera ramené à 6,0% du PIB cette année, 4,6% en 2012 et 3,0% en 2013, soit le plafond prévu par le Pacte de stabilité et de croissance européen, pour tomber à 2,0% en 2014.
Pour atteindre son objectif en 2011, le gouvernement table sur une accélération de la croissance puisqu'il se fixe pour l'instant une prévision de progression de 2,0% du PIB, après 1,5% l'an dernier.

Les valeurs suivies à la clôture de la Bourse de Paris


Liste des valeurs à suivre, mercredi, à la Bourse de Paris où le CAC 40 a clôturé en hausse pour la 6e séance consécutive et gagné 0,92% à 4.024,44 points. L'indice s'est hissé au-dessus de sa moyenne mobile à 50 jours (4.010 points) pour la première fois depuis le 9 mars.
* GDF SUEZ (+2,55% à 28,8 euros), SANOFI-AVENTIS (+1,37% à 49,72 euros) et AXA (+1,87% 15,01 euros) ont été les principaux contributeurs à la hausse du CAC 40.
* A l'inverse, des valeurs bancaires comme SOCIETE GENERALE (-1,75% à 47,48 euros), plus forte baisse du CAC, CREDIT AGRICOLE (-0,58% à 12,01 euros) et NATIXIS (-0,29% à 4,068 euros) ont limité la progression de l'indice. Standard & Poor's a abaissé les notes souveraines du Portugal et de la Grèce, relançant les craintes sur les bilans des banques européennes.
* PUBLICIS (+3,45% à 40,01 euros), qui est entré dans une configuration graphique haussière après avoir franchi le seuil de résistance de 38,675, a fini en tête des hausses du CAC 40 suivi par les poids lourds de l'énergie, EDF (+2,54% à 29,645 euros) et GDF SUEZ.
* EADS a gagné 2,34% à 20,76 euros, soutenu par la baisse de l'euro à 1,41 dollar.
* STMICROELECTRONICS a gagné 2,17% à 8,96 euros. Pénalisé au début de la catastrophe japonaise par la perspective de ruptures d'approvisionnement en composants nippons, le titre du fabricant européen de semi-conducteurs a poursuivi son redressement.
* CARREFOUR a gagné 0,67% à 31,78 euros. La direction de Carrefour et les deux grands actionnaires du distributeur, les fonds Colony et Groupe Arnault, vont devoir faire face aux pressions d'un nouvel arrivant, l'américain Knight Vinke, opposé aux projets de scission du groupe français.
* ORPEA a reculé de 2,21% à 34,815 euros après avoir fait état de résultats annuels et de perspectives de bonne qualité, mais sans surprise.
En revanche, IPSOS affiche la plus forte hausse du SRD, avec un gain de 2,46%.
* MEDICA a perdu 3,16% à 13,95 euros. BC Partners a placé sept millions d'actions Medica, soit 14,6% du capital du spécialiste français de la prise en charge de la dépendance, au prix de 13,75 euros par action. Le prix du placement est jugé très avantageux sur le marché.
Raoul Sachs, Juliette Rouillon, édité par Jean-Michel Bélot

Paris et les Bourses finissent à un plus haut de trois semaines


Les places européennes ont clôturé dans le vert mercredi, à un plus haut de trois semaines, les chiffres encourageants de l'emploi aux Etats-Unis ayant soutenu la tendance haussière initiée à l'ouverture.
A Paris, le CAC 40 a fini en hausse de 0,92% à 4.024,44 points, malgré le repli des bancaires, avec Publicis (+3,45%) et GDF Suez (2,55%) comme plus fortes hausses.
Les autres places européennes ont fini également en hausse: Londres a pris 0,27% et Francfort 1,77%. L'indice paneuropéen Eurofirst 300 a pris 0,77% à 1134,63 points
Sur l'ensemble des places, les valeurs minières ont enregistré des gains marqués après les déclarations du groupe Jiangxi Copper prévoyant que l'utilisation de cuivre du premier consommateur de ce métal qu'est la Chine progressera de 10 à 12% cette année et que ses cours pourraient atteindre de nouveaux records.
Vedanta Resources a pris 3,4%, Aperam 3,35% et BHP Billiton 1,43%.
Florent Le Quintrec pour le service français, édité par Nicolas Delame

Wall Street profite du nettoyage de bilans de fin de trimestre


Wall Street a gagné plus de 0,5% mercredi, soutenu à la fois par des chiffres satisfaisants concernant l'emploi dans le secteur privé aux Etats-Unis et par un mouvement de réallocation d'actifs à l'approche de la fin du trimestre.
L'indice Dow Jones des 30 industrielles a gagné 0,58%, soit 71,60 points, à 12.350,61. Le S&P-500, plus large, a pris 8,82 points, soit 0,67%, à 1.328,26. Le Nasdaq Composite a avancé de son côté de 19,90 points (+0,72%) à 2.776,79.
Sur l'ensemble du premier trimestre, qui sera clos jeudi, le S&P 500 affiche hausse de plus de 5%.
"Les gérants de fonds vendent des valeurs liées aux matières premières pour reprendre position sur les industrielles. Il y a une sorte de mini-rotation en cours depuis quelques jours. C'est le nettoyage de portefeuilles de la fin du trimestre", a déclaré Paul Mendelsohn, chargé des investissements chez Windham Financial Services.
Les créations d'emplois dans le secteur privé américain ont été légèrement moins importantes qu'attendu en mars, selon les résultats de l'enquête mensuelle ADP publiés au cours de la journée.
Quelque 201.000 postes ont été créés en mars, alors que les économistes interrogés par Reuters attendaient 203.000 créations. Le consensus pour les chiffres de l'emploi fournis par le gouvernement américain vendredi est resté à 190.000 créations pour le mois de mars après les données d'ADP.
Un autre facteur positif concernant l'emploi aux Etats-Unis a été l'annonce par le cabinet Challenger que le nombre de licenciements prévus avait baissé de 18% en mars.
Du côté des entreprises, le titre du groupe pharmaceutique Cephalon a bondi de 28,41% à 75,44 dollars après que son concurrent canadien Valeant a lancé une offre hostile de 5,7 milliards de dollars.
Pour son premier jour de cotation, le titre du groupe de capital-investissement Apollo Global Management a baissé de 4,21% à 18,20 dollars.
Chuck Mikolajczak, Benoit Van Overstraeten pour le service français

Le monde du travail ne veut pas des jeunes chômeurs

Le monde du travail n’est pas tendre avec eux.

Ce 1er avril entre en vigueur la révision de l’assurance chômage. Une date que les chômeurs, jeunes inclus, redoutent: certains d’entre eux risquent de se retrouver à l’aide sociale. Mais qu’en est-il de l’intégration professionnelle des jeunes en difficulté en Suisse ?


En Suisse, chaque année, entre 2000 et 2500 élèves en fin de scolarité obligatoire n’ont pas accès à une formation ou à une activité professionnelle. Et quelque 15'000 jeunes, soit près de 10% (en 1999 le taux avait atteint 12%), ne décrochent pas de titre professionnel ni de diplôme. De quoi soulever des inquiétudes pour leur avenir.

De fait, un diplôme à la suite de la scolarité obligatoire est une porte d’entrée incontournable pour trouver sa place dans le monde du travail, et en particulier dans un tissu urbain. Celles et ceux qui en sont dépourvus courent le risque de rester au chômage pour de longues périodes, et même de devoir recourir à l’aide sociale pour survivre.

Catégorie à risques

Mais qui sont ces jeunes, pourquoi le monde du travail leur claque-t-il la porte au nez? «Il s’agit de filles et de garçons avec une pléthore de problèmes, en rupture de scolarité ou avec des problèmes scolaires, ils sont souvent enfants de migrants, certains ont eu des ennuis avec la justice, ou encore, connaissent des problèmes de dépendance. Il n’existe pas de portrait-robot du jeune à risque», explique Elisabeth Allemann Theilkös, responsable du secteur de l’accompagnement et de l’intégration à l’Office de l’orientation professionnelle du canton de Berne.

«Ils ne satisfont pas aux exigences élevées de la formation professionnelle actuelle. Et le monde du travail n’est pas tendre avec eux. Souvent, on ne leur donne pas même une chance de commencer un apprentissage. Pourtant, il serait important de leur offrir cette opportunité, notamment au travers de la création de postes à exigences réduites, par exemple», plaide la spécialiste.

La précarité de leur situation professionnelle se reflète aussi dans le pourcentage des bénéficiaires de prestations sociales. En Suisse, les jeunes adultes entre 18 et 25 ans sont la première catégorie des demandeurs d’aide. En 2009, ils formaient 4,5% des bénéficiaires. Un groupe dans lequel trois jeunes sur quatre étaient sans formation professionnelle.
 
Intégration professionnelle pour tous

Si pour le 90% des jeunes en Suisse le passage de la scolarité obligatoire à la formation se passe sans difficulté majeure, il en va autrement pour les 10% restant. Divers projets sont mis en œuvre et développés afin que leur intégration professionnelle puisse être garantie.

Le Case management ‘Formation professionnelle’ en fait partie. Il s’agit d’un service destiné aux jeunes à risque. Ces derniers sont suivis dès la première année du cycle secondaire de leur scolarité, et jusqu’à l’âge de 24 ans. Un responsable se charge de planifier et de coordonner les activités entre diverses structures institutionnelles pour guider leur choix et les suivre pendant leur formation professionnelle. «Le but est de permettre à ces jeunes d’accéder à une formation professionnelle de base et de porter ainsi à 95% d’ici 2015 le pourcentage de jeunes diplômés», explique Elisabeth Allemann Theilkäs.

Un objectif que le canton de Berne a d’ores et déjà atteint: «Dans notre canton, seuls 500 des 10'000 jeunes qui terminent l’école chaque année ne parviennent pas à décrocher un diplôme post scolarité obligatoire», souligne Elisabeth Allemann Theilkäs, qui rappelle qu’en 2008, le pourcentage des jeunes adultes de 15 à 24 ans inscrits à l’assistance sociale était de 5,8%, une part nettement supérieure à la moyenne helvétique pour cette tranche d’âge (3,9%).

La révision, plaie ou aubaine?

Avec l’entrée en vigueur le 1er avril prochain de la quatrième révision de l’assurance-chômage, acceptée par le peuple en septembre dernier, le problème des jeunes dépendant de l’aide sociale risque de prendre de l’ampleur.

Une crainte qui concerne surtout les jeunes adultes sans emploi – 21'280 en février 2011 – qui risqueraient de passer directement du chômage à l’assistance sociale. De fait, la révision de la loi abaisse les 260 jours de droit à une indemnité à 200. Le texte introduit aussi une période d’attente de 120 jours pour les personnes qui terminent l’école obligatoire ou sortent d’une formation, mais qui n’ont pas encore versé de cotisations.

C’est en tout cas ce que redoute la Conférence suisse des institutions d’action sociale (CSIAS). «Il est difficile d’évaluer l’impact que la révision aura sur le nombre de bénéficiaires de l’aide sociale. Néanmoins, nous prévoyons une augmentation de 30% au cours de ces prochaines années. Les jeunes adultes et les personnes proches de la retraite seront particulièrement touchés», affirme Dorothée Guggisberg, secrétaire générale de la CSIAS.

Pour Elisabeth Allemann Theilkäs, le problème ne se pose pas. «Avec la révision, les jeunes seront appelés à s’insérer plus tôt sur le marché du travail et ce sera à leur avantage. Pour les apprentis qui terminent leur formation professionnelle en août, les jours d’indemnité sont suffisants; l’expérience nous a montré que 6 à 8 mois plus tard, la plupart d’entre eux ont retrouvé un poste de travail. De plus, les différentes mesures occupationnelles adoptées ces dernières années, comme le semestre de motivation ou les stages professionnels, favorisent l’entrée dans le monde du travail».

FUKUSHIMA (suite23) CREDIBILITE

FUKUSHIMA (suite23) CREDIBILITE

Jeudi 31 mars. 0H40. A distance, sans image, le temps semble comme suspendu. Suspendu à des pompes ( !) qui doivent débarrasser les m3 d’eau contaminée qui ont envahi plusieurs bâtiments de la centrale de Fukushima – cette inondation venant du remplissage de trois grandes tranchées situées sous les bâtiments abritant les turbines, à la suite du tsunami… Sur l’unité 1 (dont le toit a sauté le 12 mars dans une explosion hydrogène), le couvert d’eau aurait baissé de moitié, passant de  40 cm à 20 cm dans le bâtiment des turbines, selon l’Agence internationale de l’énergie atomique. Annonce qui semblerait dérisoire si on n’apprenait en même temps que ce pompage lui-même n’a rien de simple et a même dû être arrêté à cause d’un problème particulier… Lequel ? Aucune information claire n’a été donnée, mais on peut tout imaginer : gravats bouchant les tuyaux, réservoirs déjà pleins. Sur les unités 2 et 3, il a fallu procéder à des transvasements successifs qui ont lieu entre divers réservoirs de stockage… Un réel casse-tête que ces “missions contradictoires”, comme l’a signalé le porte parole de l'Agence de sûreté nucléaire et industrielle Hidehiko Nishiyama. En effet, il faut éliminer cette eau qui empêche tout espoir de faire redémarrer les systèmes de refroidissement – si tant est qu’ils puissent  jamais redémarrer. Et dans le même temps, il ne faut pas arrêter de refroidir les cœurs de réacteur. Désormais l’opération a lieu avec de l’eau douce qui pourrait éliminer le sel abondamment apporté dans la centrale avec l’injection de l’eau de mer - solution désespérée adoptée dès le début de la catastrophe. Rappelons qu’un petit calcul simple montre que des centaines de tonnes de sel ont dû ainsi être déversées. Une partie s’est certainement cristallisée en divers points chauds, une autre partie se transformant en une sorte de saumure…  On ne peut pas arrêter de refroidir, et cette situation pourrait durer des semaines, des mois, voire des années.
Voyant plus loin encore, le porte-parole cité ci-dessus a évoqué une durée de « au moins 20 ans »… pour achever les procédures de déclassement  de la centrale. Cette durée est sans aucun doute largement sous-estimée. Rappelons qu’en France, le petit réacteur de Brennilis (70 MW) est arrêté depuis 1985 et que son démantèlement à rebondissements (notamment après la découverte de contamination au césium 137 et au cobalt 60 près une station de traitement d’effluents en 2006) n’est toujours pas terminé.
Contenir la radioactivité ne va jamais cesser d’être l’obsession absolue des lieux (1). A cette heure-ci, elle s’échappe encore largement. Dans l’océan, on l’a vu avec les dernières mesures : un échantillon recueilli mardi près du système de drainage a atteint 3355 fois la normale en iode-131.  Et il faut continuer à tout mettre en œuvre pour éviter une nouvelle explosion qui pourrait avoir lieu près des cœurs de réacteur. Soit par nouvelle émission d’hydrogène, soit lors de possibles explosions de vapeur  - pour le cas où du combustible fondu très chaud interagirait violemment avec l’eau. Alors, il y aurait risque de nouvelle dissémination de radioactivité.
La mesure précise des rejets à l’extérieur de la centrale, dans la zone d’exclusion et au-delà va devenir un autre impératif majeur pour les mois, années, dizaines d’années à venir. Si des appareils de mesure ont été envoyés notamment par Areva de la France vers le Japon, plusieurs associations veulent à leur manière mener (ou aider à mener) des mesures indépendantes, notamment l’ACRO (association pour le contrôle radioactivité dans l’ouest) qui lance une souscription, notamment pour acquérir des appareillages (2). Quant à la CRIIRAD (Commission de Recherche et d'Information Indépendantes sur la Radioactivité), née avec l’accident de Tchernobyl, elle a lancé depuis presque une semaine une pétition réclamant la connaissance des mesures effectuées au niveau mondial par les laboratoires très spécialisés du grand réseau du CTBT (traité d’interdiction totale des essais nucléaires) (3).
Alors que l’acquisition de certaines informations est très difficile – par exemple savoir dans quelle situation exacte se trouvent les cœurs de réacteurs (quelle part exacte est fondue ? avec quels détecteurs assez résistants aujourd’hui la mesurer ?), d’autres données, elles, existent effectivement bel et bien, des laboratoires ad hoc ayant été mis sur pied pour les obtenir. L’impression, tout comme après Tchernobyl, que les autorités – pas seulement nationales mais internationales – « cachent des choses », n’est pas fait pour rassurer les populations. Cela nous semble particulièrement « contre-productif » vis-à-vis d’une opinion devenue mondiale avec les nouveaux moyens de communication. Et c’est faire fi de la communauté de destin global de l’humanité. Si les becquerels, en très grand nombre, sont mesurés puis annoncés par quelques balises (ou appareils divers de détection) autour de Fukushima, à Tokyo, Ibaraki, au nom de quoi ne les annoncerait-on pas clairement à Takasaki (Japon), Sacramento (Californie), Montlhéry (France), Seibersdorf (Allemagne), Pékin (Chine) et depuis toutes les stations sophistiquées de tous les pays que le panache survole ?
Après cette catastrophe majeure d'une technologie nucléaire répandue dans de nombreux pays survolés (Etats-Unis, France, Allemagne, Russie, Chine…), elle-même étroitement mêlée à une catastrophe naturelle majeure (séisme-tsunami) qui aura frappé les esprits à travers toute la planète, le moindre des respects des populations est de les informer de ce à quoi elles sont soumises. Ne serait-ce que pour les rassurer vraiment, en toute connaissance de cause. Une certaine confiance ne pouvant être rétablie qu’à ce prix. Il en devient étrange que nombre de dirigeants politiques au plus haut niveau n'aient pas l'air de s’en inquièter plus vite. Se croiraient-ils toujours au temps de la guerre froide -et de sa bureaucratie ? Seraient-ils en retard mental de quelques décennies ? Les temps ont changé, la planète s'est mondialisée et leur crédibilité, à eux aussi, se mesure au-delà des frontières. 
1)    Extrait de « Déclassement et démantèlement d’installations nucléaires » document de l’OCDE en français, p. 17 : « Lorsqu’une installation est fermée en raison de son âge, de son caractère redondant ou d’une panne, tous les dangers associés aux activités d’exploitation disparaissent en général ou sont grandement atténués, tandis que les dangers liés au stock de matières radioactives persistent et nécessitent une réglementation plus étroite. Comme les exigences réglementaires sont souvent complexes, coûtent cher et ne peuvent être appliquées que par un personnel hautement qualifié, tout pousse à vouloir les supprimer en s’affranchissant d’abord des dangers radiologiques. »                                                                                      http://browse.oecdbookshop.org/oecd/pdfs/browseit/6603082...
2)    http://www.acro.eu.org/ L’association a décidé de lancer une souscription pour réunir un fonds de soutien aux demandes japonaises en termes de surveillance citoyenne de la radioactivité dans l’environnement.

Analyse: Yen faces glisser soutenue de mener renaissance du commerce

Un réveil en yen carry trade »est réglé sur place à la devise japonaise sur une lame soutenue que la Banque du Japon maintient l'impression de l'argent à un moment où les banques centrales dans la zone euro et les États-Unis se rapprochent à la levée des taux d'intérêt.
La Banque du Japon est devenu la dernière des grandes banques centrales pour se détendre sa politique ultra-mobiles, le maintien de taux d'intérêt proches de zéro yen et la traîne de la hausse des taux d'ailleurs.
Cette ravive utiliser le yen comme véhicule de financement, un rôle de la monnaie a joué de 2005 jusqu'à la crise financière de 2008 lorsque le carry trade - vente de monnaies à faible taux d'intérêt à financer des investissements à haut rendement - effondrée.
Coordonné FX intervention le 18 Mars par les grandes banques centrales a montré que les autorités sont déterminées à agir pour endiguer une hausse de yens rapide, ce qui rend les investisseurs nerveux au sujet de pousser la monnaie supérieur.
Des rendements plus élevés des Etats-Unis feront le dollar moins attrayant comme monnaie de financement et sont susceptibles d'inciter les investisseurs institutionnels japonais pour se détendre couvertures de change sur leurs avoirs en obligations d'outre-mer lourde, un changement qui devrait donner un coup de pouce au dollar.
En outre, l'importation des besoins en énergie et en ressources nécessaires pour reconstruire le nord du Japon dévasté par le 11 Mars tremblement de terre peut conduire à la vente yens la pression et du déficit commercial, même pour le Japon.
«L'environnement de risque actuel est d'empêcher le dollar / yen de suivi des écarts de taux d'intérêt, mais la relation pourrait renforcer encore la pression à moyen terme et à la hausse sur le yen est susceptible de reculer», a déclaré Masafumi Yamamoto, stratège devises en chef chez Barclays Capital.
Les investisseurs ont également Abaisser les attentes que les investisseurs japonais rapatrient leurs fonds à l'étranger en masse après le tremblement de terre - un facteur qui a poussé le dollar à un de trois semaines élevé de ¥ 83,16 mercredi, en hausse de 9 pour cent depuis son creux record de 76,25 mis sur Mars 17.
Le dollar face à la résistance graphique lourde dans le court terme, mais un mouvement ci-dessus ¥ 85,94 - au sommet atteint au cours de match d'un jour au Japon d'intervention de dernier solo Septembre - ne serait-il mis sur la voie d'une hausse soutenue.
Le dollar à plus haut rendement australien a augmenté de plus de 14 pour cent par rapport aux creux avant l'intervention, un geste qui renforce le yen de retrouver son statut de financement.
Un signe important que les écarts de taux d'intérêt jouent un rôle plus important et devrait aider à conduire la hausse du dollar: la corrélation entre les écarts américano-japonaise de taux d'intérêt et du dollar / yen est le rétablissement de sa force traditionnelle.
CORRELATIONS À LA HAUSSE
commentaires bellicistes des responsables de la Réserve fédérale cette semaine sont de susciter des attentes de la Fed serait le coup d'envoi de son cycle de resserrement aussi tôt que plus tard cette année. Le rendement de deux ans du Trésor a atteint un 3-semaine élevé à 0,825 pour cent.
En revanche, les rendements comparables japonais ont plongé à 0,205 pour cent des fonds que les banques parc en papier à court terme après des injections de la BoJ fonds de post-séisme.
En conséquence, la propagation américano-japonais de deux ans a atteint 62 points de base, comparativement à environ 33 points de base le 16 Mars et un creux record de 20 points de base a atteint l'an dernier.

Hu Chine dit à Sarkozy manière dialogue de crise Libye

Le président chinois Hu Jintao a dit le président français Nicolas Sarkozy mercredi que la crise en Libye peut être résolu que par le dialogue et non la force.

«L'histoire a prouvé à maintes reprises que l'utilisation de la force n'est pas une réponse aux problèmes," a dit Hu à Sarkozy à Pékin, selon la télévision d'Etat chinoise nouvelles.

"Dialogue et autres moyens pacifiques sont la solution ultime aux problèmes», a déclaré Hu lors de leurs entretiens sur la Libye.

La Chine s'est abstenue lors du vote des Nations Unies Conseil de sécurité qui a autorisé une zone d'exclusion aérienne en Libye et l'action militaire contre les forces de Mouammar Kadhafi. Mais depuis lors, Pékin a accusé les pays occidentaux de trop loin dans leur campagne contre Kadhafi.

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