jeudi 31 mars 2011

Admissibilité à une Agence de la fonction agricole {FSA} prêt à Bad Credit


FSA prêts sont disponibles pour les agriculteurs et les éleveurs afin d'accéder au financement nécessaire à leur entreprise agro-alimentaire. Ces prêts sont disponibles auprès de la Farm Service Agency de l'US Department of Agriculture (USDA) et peut être faite directement par la FSA ou par le biais de garanties de prêt pouvant aller jusqu'à 95 pour cent à des prêteurs privés. Les prêteurs privés comprennent les banques, institutions de crédit agricole du système et les coopératives de crédit.

Bon nombre des programmes de prêts exiger du demandeur de satisfaire aux exigences de prêt du prêteur. Cela comprend les exigences de garantie et de crédit qui peuvent être imposées en plus des exigences du programme installé par la FSA. Ces exigences font qu'il est difficile pour les candidats avec un mauvais crédit pour bénéficier de ces prêts.

Prêt garanti

L'exception à cette règle est la garantie du prêt agricole programme qui fournit aux prêteurs privés avec une garantie de 95 pour cent de prêts pour soutenir les prêts consentis à un agriculteur ou éleveur qui ne peut pas autrement admissible à un prêt commercial. Cette garantie donne au prêteur privé une certaine protection contre le défaut de paiement en fournissant le soutien du gouvernement fédéral contre le principal du prêt.

La garantie du prêt agricole programme prévoit un pourcentage de ses garanties de prêt envers la minorité et les groupes socialement défavorisés. Cela comprend les personnes qui sont des femmes, les Afro-Américains, les Indiens d'Amérique, les Autochtones d'Alaska, Hispano-Américains et les Latinos, Asiatiques-Américains et les îles du Pacifique. Les prêts se présentent sous forme de prêts propriété agricole (FO) et des prêts d'exploitation (OL).

Les candidats à Bad Credit

Ayant un mauvais crédit n'empêche pas nécessairement un emprunteur de demander un prêt garanti. Le prêteur bénéficiaire de la garantie détermine l'admissibilité au financement, mais peut imposer des exigences supplémentaires sur un individu ou une entité qui a moins de crédit est entaché. En outre, une personne physique ou morale qui demande un prêt en vertu de ce programme doit être un citoyen américain, être légalement en mesure de conclure l'accord de prêt, ne pas avoir causé FSA à subir une perte en raison de la remise de dette à 3 reprises avant, possèdent ou exploitent des la ferme ou le ranch et ne doit pas être en souffrance sur la dette à d'autres ministères fédéraux, y compris un prêt d'études fédéral.

FO et prêts OL

Pour les prêts peuvent être utilisés pour acheter une ferme ou un ranch, construction, réparation, amélioration et le refinancement de la dette. Les prêts d'exploitation d'absorber les coûts associés à l'exploitation d'une ferme ou un ranch y compris le bétail et les aliments pour animaux, semences, produits chimiques, assurances et autres frais. Le montant maximal que la FSA garantis au titre du programme est un peu plus de 1.000.000 $, ce qui est ajusté annuellement selon l'inflation.

La liste des absents au débat sur la laïcité s'allonge


La liste des personnalités de l'UMP qui bouderont le débat sur la laïcité que le parti majoritaire entend organiser la semaine prochaine s'est encore allongée jeudi.
Dans le sillage de François Fillon, la ministre des Solidarités, Roselyne Bachelot, proche du Premier ministre, a annoncé qu'elle n'assisterait pas à la convention programmée pour le 5 avril dans un grand hôtel parisien, décriée par toutes les grandes religions de France.
Dominique Paillé, ancien porte-parole de l'UMP, a fait savoir qu'il n'irait pas non plus, de même que le maire de Nice Christian Estrosi. Dans un communiqué, l'ancien ministre estime que "toute initiative qui prend le risque même involontaire de fustiger telle ou telle catégorie de nos concitoyens doit être proscrite."
Roselyne Bachelot a précisé que la décision de François Fillon, prise, selon Matignon, en accord avec Nicolas Sarkozy, était le choix personnel du Premier ministre.
"Je n'irai pas non plus à ce débat", a-t-elle dit sur i>Télé et Radio Classique. "Avec François Fillon, nous n'étions absolument pas d'accord pour que le débat tourne autour de l'islam. Jean-François Copé l'a bien compris: il a recentré le débat sur le thème de la laïcité (...). Je préfère me recentrer sur les problèmes concrets des Français", a-t-elle ajouté.
Le porte-parole du gouvernement, François Baroin, a assuré jeudi qu'il n'y aurait "pas de nouvelle loi" sur la laïcité dans la foulée de la convention et a confirmé son souhait, exprimé lundi, de "mettre un terme à tous ces débats".
"Je ne reviens pas sur ce que j'ai dit, et je sais ce que j'ai dit", a-t-il dit sur RMC et BFM-TV.
Le député UMP Lionnel Luca a dénoncé, lui, le "sectarisme" des membres de la majorité qui ne participeront pas au débat. "Refuser le débat voulu par le président de la République c'est tout simplement l'affaiblir à un moment où il conviendrait d'être solidaire et loyal", écrit-il dans un communiqué.
"ACTE POLITIQUE"
Pour François Bayrou, François Fillon vient de "désavouer publiquement et de manière extrêmement forte les organisateurs du débat".
"C'est un débat qui n'avait pour objet que l'islam. Quand vous prenez le risque de faire flamber ce genre de sentiment, vous rendez au pays un très mauvais service: vous mettez en danger ce qui devrait faire le tissu national", a dit le président du MoDem sur France Info.
Jean-François Copé, secrétaire général de l'UMP et promoteur de la convention sur la laïcité, a accusé François Fillon de ne pas "jouer collectif" en émettant des réserves sur le débat.
Les représentants des six grandes religions de France ont estimé dans la foulée dans une déclaration commune publiée mercredi qu'il ne revenait pas à un parti politique d'organiser un tel débat.
L'entourage du Premier ministre a affirmé mercredi que sa décision de ne pas assister au débat avait été prise avant sa passe d'armes avec Jean-François Copé et en plein accord avec le président de la République.
Pour le président du Sénat, Gérard Larcher, il ne s'agit pas moins d'une décision politique.
"C'est un acte politique, naturellement, parce que ça ramène à la réalité, a dit Gérard Larcher sur Europe 1. Un parti politique est là pour débattre. Le Premier ministre, qui est le dirigeant, le chef de la majorité parlementaire, le chef du gouvernement, lui, doit assurer les valeurs essentielles de la République."
Le président du Sénat est lui aussi réservé sur la tenue d'un débat que critique l'opposition et qui empoisonne la majorité.
"Un débat qui stigmatise, c'est le contraire du principe de laïcité. Voilà pourquoi un débat sur telle ou telle religion n'est pas la bonne approche", a-t-il dit.

La gauche préside 60 départements après les cantonales


L'UMP résiste mieux que prévu au "troisième tour" des cantonales, l'élection, jeudi, des présidents des conseils généraux, mais la gauche atteint son objectif d'obtenir 60 présidences de départements.
Le Parti socialiste et ses alliés, qui détenaient jusqu'ici 58 départements sur 100, en contrôlent désormais 60 et la droite 40, a-t-on appris auprès de l'Assemblée des départements.
Une inconnue demeure à Mayotte où le vote a été reporté à dimanche, faute de quorum.
Ce territoire français de l'océan Indien est devenu formellement jeudi le 101e département français et la gauche pense pouvoir y faire basculer la majorité.
La Réunion penche désormais à gauche, puisque Nassimah Dindar, la présidente sortante du conseil général, autrefois à droite, s'est rapprochée de l'opposition.
Elle a été facilement réélue avec le soutien d'une coalition composée du PS, du Parti communiste local, de centristes et d'anciens élus de droite désormais opposés à la politique du gouvernement.
Les nouveaux présidents de conseils généraux sont élus jusqu'en 2014, quand les conseillers territoriaux remplaceront les conseillers généraux.
En métropole, les départements de la Savoie et la Loire, sur lesquels la gauche comptait pour pousser son avantage, sont finalement restés à droite.
Dans le premier cas, le député UMP Hervé Gaymard a été élu au bénéfice de l'âge après trois tours de scrutin ex aequo contre le sénateur socialiste Thierry Repentin.
Dans la Loire, le président sortant, l'UMP Bernard Bonne, a été réélu au troisième tour de scrutin contre le socialiste Jean-Claude Bertrand, par 20 voix contre 18, une abstention et un vote nul.
En outre, le Val-d'Oise est passé à droite, le candidat divers droite Arnaud Bazin ayant été élu à la tête du conseil général jusqu'alors dirigé par le socialiste Didier Arnal.
A un an de l'élection présidentielle, le passage à droite de ce département d'Ile-de-France est jugé symbolique par l'UMP, qui considère qu'il s'agit de l'ancien fief électoral de Dominique Strauss-Kahn, meilleur présidentiable socialiste selon les sondages. Le directeur général du FMI était maire de Sarcelles et député du Val-d'Oise.
La gauche a cependant remporté le Jura et a facilement pris la tête des Pyrénées-Atlantiques où Georges Labazée (PS) a été élu par 29 voix (une de plus que le total des voix de gauche) contre 21 votes blancs et deux bulletins nuls.
Dans les Hauts-de-Seine, Patrick Devedjian a été réélu président du Conseil général avec 27 voix, sur 45 conseillers votants.
Le président sortant avait bénéficié du soutien de Jean Sarkozy, fils du chef de l'Etat, qui s'est réconcilié avec lui après la défaite de sa rivale UMP Isabelle Balkany, défaite à l'issue du second tour par un quasi-inconnu.
TREMPLIN POUR HOLLANDE
En Corrèze, François Hollande a été réélu à la présidence du conseil général, ultime étape avant son entrée en lice officielle pour la primaire présidentielle du Parti socialiste. 
Président sortant, l'ancien premier secrétaire du PS a été réélu avec 20 voix contre 17 à son adversaire de droite Claude Nougein.
Il s'est ensuite officiellement lancé dans la course présidentielle, annonçant sa candidature dans un bref discours à Tulle, entouré de militants
Le socialiste Jean-Noël Guérini a été réélu à la tête du conseil général des Bouches-du-Rhône, un poste qu'il occupe depuis 1998.
Le Parti socialiste, qui a perdu dimanche deux cantons marseillais au profit de l'UMP, reste largement majoritaire dans le département avec 37 élus de gauche sur 57 sièges.
Jean-Noël Guérini est contesté au PS, notamment par Arnaud Montebourg qui réclame la mise sous tutelle de la fédération des Bouches-du-Rhône, l'une des plus importantes de France.

François Hollande enfin candidat à la primaire socialiste


François Hollande s'est officiellement déclaré jeudi "candidat à l'élection présidentielle" après des mois de faux suspense, ignorant les attaques des partisans de Dominique Strauss-Kahn et de la direction du Parti socialiste.
Dans un discours de sept minutes prononcé à Tulle, son fief de Corrèze, l'ancien premier secrétaire du PS s'est lancé dans la course à l'investiture socialiste en affichant sa volonté de "mettre la France en avant", une formule qui sonne comme un slogan de campagne.
"Je pars pour la primaire pour la gagner", a-t-il dit dans la soirée sur France 2.
Prié de dire s'il maintiendrait sa candidature au cas où le directeur général du FMI se décidait à concourir, François Hollande a répondu: "Si je me porte candidat, c'est pour aller jusqu'au bout (...) Il n'y a pas de doute à avoir".
Le député de Corrèze avait officialisé sa candidature moins de quatre heures après avoir été réélu à la tête du département dont il rêve de faire un tremplin vers l'Elysée, comme avant lui Jacques Chirac.
"Désormais, c'est de la France qu'il s'agit", a-t-il déclaré devant des militants du cru et de nombreux journalistes, insistant sur son ancrage local, une carte politique qu'il joue pour se différencier de Dominique Strauss-Kahn, bloqué à Washington par son mandat à la tête du Fonds monétaire international (FMI).
"C'est d'ici que je tire la légitimité et la force de mon engagement", a-t-il fait valoir installé à un petit pupitre qui portait la mention "Tulle 31 mars 2011", sur fond rouge et blanc.
"LA GAUCHE DOIT ÊTRE À LA HAUTEUR"
"Le moment est venu de mettre la France en avant", a-t-il estimé, attaquant un Nicolas Sarkozy "en bout de course" et un pouvoir "qui joue avec le feu en attisant les antagonismes et les peurs".
"Je n'accepte pas l'état dans lequel la France aujourd'hui se trouve (...) Je ne supporte pas la souffrance dans laquelle vivent trop de nos concitoyens harassés par tant de difficultés", a dit François Hollande, qui, dans les mots, a déjà passé le cap de la candidature à la candidature pour viser l'Elysée.
"Il faut à un moment qu'il y ait des idées et une incarnation du changement. C'est la raison pour laquelle j'ai décidé, ici à Tulle, devant vous mes amis, de présenter ma candidature à l'élection présidentielle", a-t-il annoncé, sous les applaudissements et les cris de "François président".
Le néo-candidat a consacré le coeur de son message à la jeunesse, reprenant les grandes lignes du programme qu'il s'attache à élaborer depuis 18 mois au gré de conventions thématiques.
Après trois présidentielles perdues d'affilée et cinq années de présidence Sarkozy, "la gauche doit être à la hauteur", a-t-il dit.
"Il lui faut (...) montrer qu'un chemin et possible que la France peut avancer et surtout offrir à la génération qui vient après nous un avenir meilleur que le nôtre, une vie meilleure".
RÉFORMISME DE GAUCHE
Son entrée en lice, à quelques jours de la présentation du projet présidentiel du PS, déplaît à la direction socialiste, menée par Martine Aubry, qui prêche le jeu collectif à longueur de temps.
Les partisans de Dominique Strauss-Kahn, présidentiable consacré par les sondages, voient également d'un mauvais oeil François Hollande se placer sur le même créneau politique de fond: le réformisme de gauche et la ligne social-démocrate.
Ils lui demandent de réfléchir à l'utilité de sa candidature, pour ne pas accroître les divisions internes face aux attentes des Français.
Fin de non-recevoir mâtinée de fermeté de l'intéressé: "Ce qui nous attend, ce n'est pas une compétition entre nous (...) mais d'être capable de donner à la France la fierté qu'elle mérite et aux Français la confiance qu'ils attendent".
A la sortie de la séance du conseil général, Jacques, 45 ans, un électeur de droite espérait que les militants socialistes choisiraient un autre poulain que François Hollande.
"La question qui se pose, c'est s'il aura assez de temps pour la Corrèze. Moi, je ne le crois pas. Alors je préfère que ce soit un ou une autre qui soit choisi par les militants de gauche, car pour moi c'est blanc bonnet et bonnet blanc", a-t-il dit à Reuters.
"Y aura-t-il un pilote dans l'avion ?", à propos de la présidence départementale, s'est interrogé en écho Michel Paillassou, élu d'opposition et président départemental de l'UMP. "Qui choisir entre Ségolène, François ou Martine ? Un choix cornélien", a-t-il raillé sous quelques sifflets

Pressions pour élargir la zone d'évacuation à Fukushima


Le gouvernement japonais fait face à des pressions croissantes pour élargir la zone d'évacuation autour de la centrale endommagée de Fukushima alors que des relevés laissent supposer que des substances radioactives s'écoulent en permanence dans la mer.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) ainsi que l'agence japonaise de sûreté nucléaire ont conseillé au chef du gouvernement Naoto Kan d'étendre le périmètre de sûreté de 20 km entourant le complexe nucléaire.
Les deux organisations font valoir que des niveaux de radiations supérieurs aux critères établis pour décider une évacuation ont été enregistrés à une distance de 40 km, en particulier dans le village d'Iitate.
Pour l'instant, 70.000 personnes qui vivaient dans cette zone ont été évacuées tandis que 136.000 autres résidant dans une bande de terre comprise entre 20 et 30 km ont reçu la consigne, soit de partir, soit se calfeutrer dans leur domicile.
Le secrétaire général du gouvernement japonais, Yukio Edano, a indiqué que les autorités examinaient sur une base quotidienne la question d'un éventuel élargissement de la zone d'évacuation, mais que pour l'instant elles ne voyaient pas la nécessité d'une telle mesure.
Une équipe de 140 spécialistes militaires américains en radiations nucléaires va être prochainement dépêchée au Japon pour tenter d'éviter une catastrophe nucléaire majeure.
Anne Lauvergeon, présidente du directoire d'Areva, a également proposé les services de techniciens français pour aider l'opérateur Tepco à reprendre le contrôle de la centrale dont les systèmes de refroidissement des réacteurs ont été gravement endommagés.
SARKOZY EXPRIME LA SOLIDARITÉ DU G20
Arrivée mercredi au Japon avec trois experts français, Anne Lauvergeon a rencontré le ministre du Commerce, Banri Kaieda, et lui a proposé un partenariat tout en exprimant son souhait de coopérer avec l'Américain General Electric dans cette affaire.
Les relevés effectués par l'agence japonaise de sûreté nucléaire laissent penser que des substances radioactives s'écoulent de manière continue dans la mer.
"C'est une possibilité", a reconnu le directeur général adjoint de cette agence, Hidehiko Nishiyama, lors d'une conférence de presse, en ajoutant qu'il ignorait où pouvaient se produire les fuites radioactives.
L'agence a indiqué jeudi que la radioactivité dans l'eau de mer au large de la centrale avait augmenté et était désormais 4.385 fois supérieure à la limite admise.
Il s'agit du taux le plus élevé d'iode radioactif relevé en mer depuis le tsunami du 11 mars, qui a gravement endommagé la centrale. Mercredi, l'agence parlait d'une radioactivité au même endroit 3.355 fois supérieure à la limite admise.
Après une visite mercredi et jeudi en Chine, Nicolas Sarkozy s'est rendu à Tokyo où il a appelé de ses voeux l'adoption avant la fin de l'année de nouvelles normes internationales en matière de sûreté des centrales nucléaires.
Venu témoigner de la solidarité des pays du G20 envers le Japon après le séisme et le tsunami meurtriers du 11 mars, le président français a estimé que l'accident de la centrale nucléaire de Fukushima ne devait pas conduire à remettre en cause ce type d'énergie mais à renforcer sa sécurité.
"Je le dis, et je le dis au Japon, le problème est plus un problème d'élévation des normes de sûreté que le problème du choix d'une énergie nucléaire pour laquelle il n'y a pas d'alternative à l'heure actuelle", a dit le président français, arrivé au Japon en provenance de Chine.
"Nous devons regarder tout ceci avec sang-froid pour qu'une telle catastrophe ne puisse pas se reproduire, et en même temps tenir compte du fait que tous nous avons pris des engagements de réduction des émissions de gaz a effet de serre. Et pour remplir ces engagements, il n'y a pas 150 solutions, il y a l'énergie nucléaire."
Un analyste a évalué que Tepco pourrait recevoir des demandes d'indemnisation d'un montant total de 130 milliards de dollars si les graves difficultés perduraient à Fukushima.
A l'étranger, des traces "infimes" d'iode radioactif ont été décelées dans un échantillon de lait dans l'Etat de Washington, situé sur la côte ouest des Etats-Unis.

Les rebelles libyens veulent contre-attaquer


par Alexander Dziadosz et Angus MacSwan
PRES DE BREGA/BENGHAZI, Libye (Reuters) - Les insurgés libyens massés autour du port pétrolier de Brega se préparaient jeudi à lancer une contre-offensive contre l'armée de Mouammar Kadhafi, qui a repris depuis trois jours sa progression dans l'est de la Libye.
La nouvelle de la défection, mercredi, du ministre libyen des Affaires étrangères, Moussa Koussa, qui s'est réfugié en Grande-Bretagne, a mis du baume au coeur des rebelles, contraints depuis mardi de lâcher pied face aux assauts des gouvernementaux malgré le soutien aérien de la coalition occidentale.
"C'est le début de la fin pour le régime de Kadhafi", a estimé Moustafa Gheriani, le porte-parole des insurgés, à Benghazi, capitale de la Cyrénaïque et fief de l'insurrection.
Les forces rebelles, repliées près de Brega où des combats ont eu lieu jeudi à l'aube, ont prévu de reprendre leur progression vers l'Ouest. "Si Dieu le veut, il y aura aujourd'hui d'autres raids aériens (de la coalition, contre les kadhafistes) mais de toute façon nous avancerons", a dit Mouneim Moustafa, un combattant armé d'un fusil d'assaut AK-47.
Alors que l'idée de livrer des armes aux rebelles est évoquée par Washington, Paris et Londres, des responsables américains ont déclaré que Barack Obama avait autorisé la CIA, les services secrets, à mener des opérations clandestines pour appuyer les insurgés.
L'OTAN OPPOSÉE À L'ENVOI D'ARMES
Selon des experts, des membres des forces spéciales seraient sur le terrain pour aider les avions alliés à localiser et à frapper leurs cibles. Le secrétaire américain à la Défense, Robert Gates, s'est refusé à commenter les activités de la CIA tout en assurant qu'il n'y avait pas de "bottes" américaines sur le terrain.
A Paris, le ministre de la Défense, Gérard Longuet, a aussi affirmé que la France n'avait pas déployé de troupes au sol en Libye et a ajouté que la livraison d'armes aux rebelles n'était "pas à l'ordre du jour".
Les opposants à Kadhafi, qui ont de nouveau réclamé des armes lourdes, disent ne rien savoir de la présence de soldats étrangers en Libye et reconnaissent qu'un trop net engagement des Occidentaux pourrait nuire à leur crédibilité, comme l'a dit Moustafa Gheriani.
Après la Russie, la Turquie s'est dite opposée à l'envoi d'armes aux insurgés.
L'Otan, qui a concrètement pris jeudi le commandement des opérations, a elle aussi souligné qu'elle entendait faire appliquer strictement la résolution de l'Onu imposant un embargo sur les armes destinées à la Libye. "Nous sommes là-bas pour protéger le peuple libyen, pas pour lui donner des armes", a dit à Stockholm son secrétaire général, Anders Fogh Rasmussen.
Le vicaire apostolique à Tripoli a affirmé qu'une quarantaine de civils avaient trouvé la mort lors de bombardements aériens alliés sur la capitale libyenne.
L'Otan a déclaré qu'elle enquêtait sur ces allégations et que pour le moment aucun élément ne venait les étayer. A Paris, un porte-parole de l'état-major a souligné qu'aucun appareil français n'avait opéré dans la zone de Tripoli.
KADHAFI ACCUSE L'OCCIDENT
Les rebelles ont affirmé que les bombardements des forces fidèles à Kadhafi avaient fait 38 morts dans la population civile ces deux derniers jours à Misrata, la troisième ville de Libye et la seule de l'Ouest encore aux mains des insurgés. "C'est un massacre qui se déroule ici", a dit un porte-parole des rebelles joint par téléphone.
La Royal Air Force britannique a fait savoir qu'elle concentrait ses attaques sur les positions gouvernementales autour de Misrata, à 220 km à l'est de Tripoli.
D'après Londres, les combats entre partisans et adversaires du "Guide" libyen ont fait un millier de morts depuis le début de l'insurrection le 17 février.
Dans une déclaration lue jeudi soir à la télévision libyenne, Mouammar Kadhafi a accusé les Occidentaux d'avoir déclenché entre chrétiens et musulmans une guerre qui pourrait échapper à tout contrôle.
"S'ils continuent, le monde va entrer dans une véritable guerre de croisade. Ils ont engagé un processus dangereux qui ne peut pas être contrôlé et qui va échapper à leur contrôle", a-t-il estimé.
"Les dirigeants qui ont décidé de lancer une guerre de croisade entre chrétiens et musulmans en Méditerranée et qui ont tué un grand nombre de civils en Libye ont été rendus fous par le pouvoir. Ils veulent remplacer la force du droit par le droit de la force."
Un porte-parole du gouvernement de Tripoli a assuré que le "Guide" et ses fils resteraient en Libye "jusqu'à la fin".

Les forces pro-Ouattara atteignent Abidjan, combats en ville


Alassane Ouattara a annoncé jeudi que ses forces étaient "aux portes" d'Abidjan après une progression rapide visant à évincer son rival, le président ivoirien sortant Laurent Gbagbo.
Ouattara, considéré par la quasi-totalité de la communauté internationale comme le vainqueur du scrutin présidentiel du 28 novembre, a appelé les derniers partisans de Gbagbo à se rallier à lui pour éviter "de nouvelles souffrances aux populations".
"Aujourd'hui, (les Forces républicaines de Côte d'Ivoire - FRCI) sont aux portes d'Abidjan", a déclaré Ouattara dans une allocution prononcée sur sa chaîne de télévision.
Peu après, des journalistes de Reuters présents sur place ont fait état de tirs d'armes lourdes dans le centre d'Abidjan, où les forces de Gbagbo étaient déployées dans les rues proches du palais présidentiel dans le quartier du Plateau.
Des militaires français se sont déployés en certains points de la ville pour prévenir d'éventuelles attaques de ressortissants français par des partisans de Gbagbo, a-t-on rapporté de différentes sources.
Les militaires français de la force Licorne ont simplement renforcé leur dispositif de surveillance dans certains quartiers où opèrent des groupes crapuleux, a précisé à Paris l'état-major français des armées.
Quatre patrouilles renforcées comprenant des soldats à bord de véhicules blindés ont circulé notamment dans la zone 4 et le quartier des Deux Plateaux pour prévenir d'éventuels incidents.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, les partisans de Ouattara avaient pris le contrôle de San Pedro, port d'exportation du cacao, après s'être rendus maîtres de Yamoussoukro, la capitale administrative du pays.

DÉFECTION DU CHEF D'ÉTAT-MAJOR IVOIRIEN
Autre revers pour Gbagbo, le général Philippe Mangou, chef d'état-major de l'armée, s'est réfugié à la résidence de l'ambassadeur de Pretoria à Abidjan, a annoncé le gouvernement sud-africain.
Ce dernier a démenti des rumeurs selon lesquelles Gbagbo lui-même serait en route pour l'Afrique du Sud. Ces rumeurs ont aussi été démenties par Toussaint Alain, conseiller de Laurent Gbagbo contacté par Reuters à Paris.
Des habitants ont vu jeudi après-midi des combattants pro-Ouattara avancer vers le quartier abidjanais de Cocody, où se trouvent le siège de la télévision nationale et la résidence de Gbagbo. Des hélicoptères de combat de l'Onu survolaient la ville et des véhicules blindés français ont été signalés dans certaines rues du centre, près du palais présidentiel.
Résistant aux pressions de l'Union africaine et des pays occidentaux, Gbagbo refuse de se retirer depuis le scrutin de novembre, dont les résultats validés par l'Onu font apparaître qu'il a été battu de huit points par Ouattara.
Les forces de Ouattara ont déclenché lundi une offensive sur trois fronts vers le sud. Les villes sont tombées entre leurs mains une par une, la plupart du temps sans résistance.
Des habitants de Sassandra, entre San Pedro et Abidjan, ont rapporté que les pro-Ouattara avaient traversé leur ville jeudi. D'autres combattants pro-Ouattara progressent depuis le nord-ouest et le nord-est du pays.
"Je vous demande de vous mettre à la disposition de votre pays et de rejoindre ainsi la légalité. Il est encore temps de rallier vos frères d'armes des Forces républicaines", a déclaré Ouattara jeudi en s'adressant aux forces de Gbagbo.
POUR GUILLAUME SORO, LA PARTIE EST TERMINÉE
Guillaume Soro, Premier ministre du gouvernement formé par Ouattara, a déclaré jeudi à Reuters que Gbagbo ne resterait pas plus de quelques heures au pouvoir et que la partie était terminée.
Soro a aussi affirmé à la chaîne France 24 que "plusieurs généraux" pro-Gbagbo avaient rejoint le camp du président élu et que les pro-Ouattara donnaient "la possibilité au maximum de gens de faire des ralliements" pendant quelques heures.
A Washington, le département d'Etat a lancé un appel à la retenue à toutes les parties au conflit et averti que Gbagbo et son épouse auraient à rendre des comptes au cas où de graves violences éclateraient.
Des diplomates ont indiqué jeudi que les sanctions de l'Union européenne contre le gouvernement de Gbagbo, qui comprennent un embargo sur les livraisons de cacao à partir de San Pedro, resteraient en place et que si des exemptions étaient envisagées, leur application prendrait de quatre à cinq jours.
Si Gbagbo est en mesure de résister aux forces de son rival, les pro-Ouattara risquent de s'enliser dans des combats de rue sanglants à Abidjan, où l'armée recrute parmi les jeunes partisans de Gbagbo.
A New York, le Conseil de sécurité de l'Onu a adopté mercredi une résolution rédigée par la France qui impose de nouvelles sanctions à Gbagbo et à son entourage.

mercredi 30 mars 2011

4 façons de jouer rebond du Japon

People walk past a display showing stock indices in Tokyo March 23, 2011.  REUTERS/Lee Jae-Won
Si vous êtes un investisseur, comment devriez-vous ce qui concerne la crise japonaise? Si vous êtes un court-circuit des actions japonaises? Devriez-vous miser fortement sur les entreprises coréennes à prendre la relève? Qu'en est-il des entreprises basées en Amérique comme Apple et Hewlett-Packard qui sont tributaires de la chaîne d'approvisionnement japonais?
Il n'ya pas de réponses claires que les chaînes d'approvisionnement sont souvent aussi complexes que les produits dont les parties en dépendent. Vous avez besoin de regarder au-delà du Japon et des manchettes en cours pour explorer un certain nombre de scénarios.
Le Japon sera blessé dans le court terme. Bien que les ingénieurs japonais et éventuellement les planificateurs crise fera bouger les choses à nouveau, dans l'intervalle de la nation d'île est à court d'électricité. Contrairement aux produits du pétrole et d'autres, ils ne peuvent pas facilement pipe à plusieurs électrons à partir d'un bateau ou avion. Une grille affaibli la «faible ou pas de la productivité dans les usines et les baisses de tension dans les immeubles de bureaux. Pièces ne sont pas d'être expédiés pour tout, des téléphones cellulaires pour automobiles.
Autre que le problème de rayonnement provenant des réacteurs endommagés, manque de puissance est la menace la plus immédiate pour le secteur industriel. Si vous êtes vraiment baissière sur l'industrie japonaise de rebondir rapidement, vous pouvez parier contre leurs stocks en achetant un fonds inverse négociés en bourse (ETF), comme le fonds ProShares ultracourte MSCI Japon. Le fonds promet à un rendement de 200 pour cent-jour sur un indice des actions japonaises - en cas de chute de référence. C'est un moyen à haut risque de «court-circuiter" le Japon et seulement pour les opérateurs disciplinée.
Le Japon va rebondir. Je penchent plus vers ce scénario, bien que le moment exact est impossible à dire. Certaines entreprises seront touchées plus que d'autres. Sauf si vous savez comment leurs chaînes d'approvisionnement de travail, il serait difficile de trier la liste des gagnants et des perdants. Si vous êtes généralement optimistes sur le pays, vous pouvez aller "long" et acheter un ETF comme le iShares MSCI Japan. Il suffit de garder à l'esprit que ce sera difficile va. Comme BMO Marchés des capitaux notes: "coupures de courant pourrait provoquer une pénurie de la technologie et les machines, la création d'isoler les pressions sur les prix."
L'Asie est toujours un bon pari. Comme il se reconstruit, le Japon va s'appuyer fortement sur ses voisins de la Chine, la Corée du Sud, les Philippines, le Vietnam et l'Inde. Est-ce que les Japonais ne délocalisation importante de la fabrication? Ils auront certainement besoin d'acheter des pièces et des matières premières dans leur phase de récupération. Dans l'ensemble, l'Asie est un investissement de croissance, de toute façon. Le Vanguard MSCI Pacifique ETF investit dans près de 500 actions en Asie ainsi que l'Australie et la Nouvelle-Zélande. Si vous voulez encore des stocks d'Asie, mais nous voulons laisser de côté le Japon, considèrent l'iShares Asia ex-Japan fonds.
Investir dans le monde entier. Si vous souhaitez simplement cesser de s'inquiéter de quel pays ou de pays fera bien, développez vos avoirs à la plupart des marchés boursiers dans le monde. Il est logique pour tout portefeuille buy-and-hold et élimine une grande partie de la conjecture. Un de mes choix préféré est le Vanguard Total World Stock ETF, qui suit près de 3000 titres de l'indice FTSE All-World.
Je serais le dernier à parier contre les Japonais. Ils font preuve de compassion, de ressources, savoir-faire pour réunir et sont de très bons ingénieurs. Ils vont rebondir de l'un des plus grands désastres depuis 1945.
Pour être juste envers les ours au Japon, si, il ya encore beaucoup que les difficultés que l'économie. Il a été contesté pour la croissance-plus d'une décennie, peut toujours envoyer des ondulations énormes à travers l'économie mondiale et est assis sur plus de 1 billion de dollars de la dette des États-Unis. Ils peuvent encaisser dans une feuille de papier du Trésor américain, ce qui pourrait rock marchés mondiaux du crédit.
Bien que je ne pense pas que la reconstruction du Japon va déclencher un désastre économique, c'est quelque chose d'intéressant à regarder de près. Personne ne sait comment cela va se jouer et vous devez toujours garder un œil sur votre horizon de placement.

Tunisie gèle les actifs de la famille Kadhafi: source gouvernementale

Voisin de la Libye Tunisie a gelé les avoirs appartenant à la famille du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, une source gouvernementale tunisienne a déclaré jeudi.

Les pays occidentaux, l'Organisation des Nations Unies et l'Union européenne ont déjà gelé gouvernement libyen et les actifs de la famille Kadhafi dans le cadre d'un ensemble de sanctions imposées après la répression de la Libye sur une révolte contre la domination de Kadhafi.

"La Tunisie a gelé les avoirs de Kadhafi et cinq membres de sa famille suite à une décision prise par l'Organisation des Nations Unies," la source, qui ne voulait pas être identifiée, a déclaré à Reuters.

Le gel des avoirs en Tunisie est susceptible d'avoir un impact significatif parce que la Libye a des dizaines d'investissements là-bas, y compris des hôtels, une chaîne de stations-service et une participation dans un terminal pétrolier.

La plupart de ces actifs sont détenus par la Jamahiriya instruments d'investissement publics, mais beaucoup d'entre eux sont contrôlés de facto par les membres de la famille Kadhafi.

La Tunisie est également utilisé par l'élite de la Libye en tant que base pour les banques, les vacances et les soins de santé, une pratique qui remonte aux années 1980 et 1990, lorsque les sanctions internationales contre la Libye voulait dire qu'ils avaient un accès limité à ces services à domicile.

Syrie Live nouvelles - Mars 30



Comme la situation s'aggrave en Syrie, nous vous mettez à jour avec les derniers développements de nos correspondants, les agences de nouvelles et les citoyens à travers le monde.(Toutes les heures sont locales en Syrie GMT +2)

    
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3:00 pm

      
Bonjour et bienvenue à notre couverture continue de l'agitation en Syrie.

      
Vous pouvez lire notre article principal sur la première adresse du président Assad à la nation depuis les manifestations anti-gouvernement a commencé ici.

      
Comme il est entré au Parlement pour le discours de mercredi, les législateurs scandaient «Dieu, la Syrie et Bachar seulement!" et "Nos âmes, notre sang nous nous sacrifions pour toi Bachar".

      
Le discours est considéré comme un test crucial pour son leadership et celui qui peut déterminer l'avenir de la Syrie.

      
Assad a déclaré qu'il s'agissait d'un "moment exceptionnel" et un "test pour notre unité".

      
Il a dit des Syriens qui avaient manifesté contre son régime avait revendications légitimes et a déclaré que le gouvernement a appuyé l'idée de réforme.

          
"Nous ne pouvons pas dire que tout le monde qui est sorti [dans la rue] est un conspirateur. Soyons clairs à ce sujet", a dit Assad.

     
    
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2:00 pm

      
Certaines personnes se sont rassemblées dans les rues de Damas scandaient: "Les gens veulent Bachar al-Assad"
    
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1:55 pm

      
Le président Assad: "Certaines personnes sur certaines chaînes satellite viendra dire que ces réformes ne sont pas assez, ne vous fâchez pas avec ces chaînes par satellite, ils tombent dans les mêmes pièges tout le temps, ils mentent et ils commencent à croire leurs propres mensonges .
    
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Timestamp:
      
1:48 pm

      
"L'ennemi toujours essayé de nous affaiblir. Succès nous fait toujours assurée. Après chaque bataille, nous devons nous maintenir en dehors de complots.
    
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Timestamp:
      
1:47 pm

      
Assad dit:

          
Je sais que beaucoup de gens ont attendu ce discours, mais je voulais attendre que je vois une image complète clairement, nos ennemis sont travaillons très fort pour frapper à la Syrie ".

    
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Timestamp:
      
1:46 pm

      
Le président Bachar al-Assad: "les derniers événements de notre unité de test, ceux-ci sont répétées chaque maintenant et puis, à cause de la conspiration contre la nation que nous volontiers surmonter ces difficultés..
    
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Timestamp:
      
1:44 pm

      
Le président syrien Bachar al-Assad parle à la nation au milieu de l'agitation dans le pays.
    
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Timestamp:
      
09h41
      
Un enveloppement des derniers développements en Syrie par Omar al-Saleh


    
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Timestamp:
      
08h20

      
L'utilisateur de Twitter @ shinawatra2011 a écrit: le gouverneur de Tartous en Syrie appelle ses employés à rallier tout le monde à soutenir le président Assad.

      
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Timestamp:
      
08h13

      
Assad est de s'adresser à la nation le mercredi, selon un haut fonctionnaire, dans son premier discours en deux semaines de la dissidence sans précédent.

      
Il est prévu d'élaborer une série de réformes annoncé la semaine dernière, au milieu d'une vague de dissidence et de protestations réclamant une réforme et une plus grande liberté dans le pays, qui a été dirigé par le parti Baas depuis 1963.

La belle vie sur Twitter du cobra disparu du zoo de New York


Un cobra égyptien disparu la semaine dernière à New York du zoo du Bronx est "réapparu" sur le site de microblogging Twitter où le serpent venimeux raconte ses aventures de touriste à Manhattan.
Le compte Twitter BronxZoosCobra, prétendument celui du jeune cobra qui a disparu de la Maison des reptiles du zoo samedi, comptait 115.000 abonnés (followers) mercredi matin.
"Sur le toit de l'Empire State Building! Vu d'ici, les gens ressemblent à des petites souris. De délicieuses petites souris", peut-on lire sur le compte Twitter.
Limité aux 140 caractères maximum des messages, le reptile dit son intention d'assister à une comédie musicale à Broadway ou encore d'aller écouter du jazz.
Le cobra est rapidement devenu un parfait New-Yorkais, au fait des adresses à la mode. "Je me régale avec un petit gâteau chez Magnolia Bakery. Cela va directement sur mes hanches. Oh mais attends. Je n'ai pas de hanches. Cool!"
"Donald Trump songe à se présenter à la présidentielle ? Ne vous inquiétez pas, je m'en charge. Où se situe la Trump Tower exactement ?", peut-on également lire sur Twitter.
Le zoo du Bronx a expliqué qu'il pensait que le serpent était tapi quelque part dans la Maison des reptiles, qui reste fermée au public pour le moment, et qu'il pourrait se passer plusieurs semaines avant qu'on ne le retrouve.
Joint par e-mail par Reuters, la personne derrière le compte Twitter a répondu: "Pourquoi tout le monde trouve tellement improbable qu'un serpent du Bronx puisse se promener tranquillement dans la ville en tweetant sur son iPhone ?".
"Sommes-nous devenus à ce point cyniques ?"

Les insurgés libyens reculent dans le golfe de Syrte


Face à une armée régulière supérieure en nombre et meilleure tacticienne, les insurgés libyens ont battu retraite mercredi sur le littoral du golfe de Syrte, montrant leur faiblesse en l'absence d'un appui aérien allié capable de retourner la situation en leur faveur.
Ces revers sont intervenus deux jours seulement après un week-end de victoires en série pour les adversaires de Mouammar Kadhafi repoussés de ville en ville sur la route stratégique longeant le littoral méditerranéen en direction de Syrte, ville natale du "Guide".
L'armée restée fidèle au dirigeant libyen a, dans un premier temps, tendu une embuscade à un convoi hétéroclite de pick-up et de voitures particulières rebelles devant Syrte avant de les déborder dans le désert à l'occasion d'une manoeuvre demandant la sorte de discipline qui fait entièrement défaut aux insurgés.
Les localités de Nofilia, Bin Djaouad et Ras Lanouf sont ainsi rapidement tombées l'une après l'autre dans le cadre de la contre-offensive éclair de l'armée de Mouammar Kadhafi.
Les rebelles n'ont apparemment pas essayé de tenir à Brega, la ville située après Ras Lanouf, et ont poursuivi en direction d'Ajdabiah où certains d'entre eux se sont regroupés. Des dizaines de pick-up équipés de mitrailleuses se tiennent à la sortie ouest de cette ville où la confusion paraît grande.
Interrogé sur ce qui se passe, un insurgé répond: "On ne sait pas. Ils disent qu'un groupe de partisans de Kadhafi est peut-être en train d'arriver en provenance du Sud."
Cela voudrait dire un autre mouvement latéral important à travers les immensités désertiques.

Dans toutes les localités, l'armée loyaliste s'est livrée à de violents bombardements de blindés, de pièces d'artillerie et de roquettes Grad montées sur des camions pour faire fuir ses adversaires.
Sans soutien aérien occidental, les insurgés semblent incapables d'avancer ou même de tenir des positions face aux blindés de Mouammar Kadhafi.
Des avions militaires ont bien survolé mercredi le champ de bataille, sans toutefois bombarder apparemment les forces régulières libyennes.
A l'ouest de Syrte, le blocus du port de Misrata, ville tenue par les insurgés à 220 km à l'est de Tripoli, a été levé, ce qui a permis à deux navires de débarquer de l'aide humanitaire et d'évacuer des blessés, a déclaré un porte-parole des rebelles. Selon lui, les combats de mardi ont fait 18 morts parmi la population civile.
Des escarmouches opposent toujours dans la troisième ville de Libye les insurgés aux forces gouvernementales, dont les chars poursuivent leurs bombardements, a-t-il dit.
Les forces rebelles manquent de formation, de discipline et de commandement, sans parler de leur équipement souvent hétéroclite et parfois obsolète. Malgré leur courage et leur enthousiasme, ils ont tendance à s'égailler comme une volée de moineaux à chaque fois que les gouvernementaux commencent à tirer de façon nourrie.
"Cette révolution n'a que cinq semaines, elle est très organisée au plan politique", explique Moustafa Gheriani, porte-parole de l'insurrection à Benghazi. "Il faut normalement six mois pour former un soldat (...) Il s'agit ici de simples citoyens qui prennent des fusils pour défendre leurs biens."
AVERTISSEMENT DE LA RUSSIE
Sur le plan diplomatique, au lendemain de la conférence de Londres, la Russie a mis en garde les Occidentaux contre la tentation d'armer les adversaires de Mouammar Kadhafi et souhaité que l'avenir de la Libye se forge sans ingérence extérieure.

Le Premier ministre britannique, David Cameron, en pointe dans l'affaire libyenne avec le Français Nicolas Sarkozy, n'a pas exclu mercredi la fourniture d'armes aux insurgés tout en précisant ne pas avoir pris de décision à ce sujet.
A Tripoli, le ministère des Affaires étrangères a estimé que la proposition française d'armer les rebelles était contraire aux résolutions des Nations unies et équivalait à soutenir le terrorisme.
A Pékin, le président chinois Hu Jintao a déclaré à son homologue français que la sortie de crise passait par le dialogue et non la force.
A Kampala, le gouvernement ougandais a fait savoir qu'il serait éventuellement prêt à accueillir Mouammar Kadhafi si le n°1 libyen acceptait de quitter le pouvoir qu'il exerce depuis plus de 41 ans sous la pression internationale.
Enfin, les autorités de Tripoli ont expulsé mercredi l'un des envoyés spéciaux de Reuters en Libye, Michael Georgy, sans fournir d'explications.

L'ASN étudie un moratoire sur la construction de Flamanville 3


L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) pourrait envisager de suspendre la construction du réacteur EPR de Flamanville 3, premier de ce type en France, en réaction à la crise nucléaire japonaise, a déclaré mercredi son président, André-Claude Lacoste.
A la question de savoir si l'accident de la centrale nucléaire de Fukushima déclencherait un moratoire sur le projet d'un EPR à Penly, le président, s'exprimant devant le Parlement, a estimé qu'il restait encore du temps pour réfléchir au cas Penly, qui n'a pas encore été mis en chantier.
Il a ajouté qu'il faudrait étudier en priorité la suspension de la construction de l'EPR à Flamanville, fourni par Areva et qui doit être opéré par EDF, au Nord-Ouest du pays.
"Je pense que si la question d'un moratoire se pose, et nous nous la posons, ce sera sur la construction de Flamanville 3", a déclaré André-Claude Lacoste.
"C'est typiquement le genre de réflexion que nous aurons dans les prochains mois", a-t-il poursuivi.
L'entrée en service du réacteur de Penly, qui sera opéré par l'électricien EDF, est attendue pour 2017.
Le site de Flamanville, où la construction a déjà démarré, a deux ans de retard sur l'échéancier initialement prévu.

Boeing et Gecas finalisent une commande de 777


Boeing et Gecas, filiale de crédit bail de General Electric, ont annoncé mercredi qu'ils avaient finalisé une commande portant sur 10 modèles d'avions 777 à portée étendue.
Cette commande représente environ 2,8 milliards de dollars (1,98 milliard d'euros) d'après les prix catalogue, purement indicatifs.
Dans un communiqué, GECAS, explique que les nouveaux appareils 777-300R l'aideront à satisfaire la demande croissante pour les avions commerciaux long courrier.
Cette dernière annonce porte à 53 le nombre d'appareils 777 commandés par GECAS, dont 41 modèles 777-300R.
Ce dernier permet de transporter 365 passagers et de voler sur une distance pouvant aller jusqu'à 7.930 miles nautiques.

L'idée d'une holding commune pour Nissan et Renault étudiée


Nissan et Renault se dirigent vers l'établissement d'une compagnie holding qui coifferait les deux constructeurs automobiles sous un même toit, a dit Carlos Ghosn, président des deux groupes, dans un entretien publié par le journal Nikkei.
Si ce projet voyait le jour, ce serait la première fois que des importants groupes automobiles de pays différents sont regroupés au sein d'une entité unique, a souligné le quotidien économique.
La mise sur pied d'une telle entité prendrait deux à trois ans, a poursuivi Carlos Ghosn, cité par le Nikkei.
Interrogé au sujet des informations du journal japonais, un porte-parole a dit : "Ce n'est pas une annonce", ajoutant que Renault avait déjà dit par le passé qu'une forme de rapprochement avec Nissan était "à l'étude".
Lors d'un entretien accordé le 25 février à Reuters, Carlos Ghosn avait déclaré que la structure du capital de l'alliance Renault-Nissan allait être réexaminée afin d'améliorer l'équilibre entre les deux groupes.
Il avait toutefois dit à l'époque que cela ne passerait pas par une fusion entre les deux constructeurs, ajoutant espérer aboutir à une décision d'ici trois ans.
Selon Nikkei, le président de Renault et de Nissan a également dit que les intérêts des actionnaires devaient être pris en considération, voulant dire par là, toujours selon le journal, que Renault et Nissan continueraient de bénéficier d'une cotation séparée et que le gouvernement français, qui détient 15% des parts du constructeur français, aurait son mot à dire.
D'après le projet évoqué par Carlos Ghosn, le fabricant russe AvtoVaz, détenu à 25% par Renault, de même que les filiales roumaine et sud-coréenne du groupe français, Dacia et Renault Samsung Motors, seraient également chapeautés par la holding unique, ajoute le Nikkei.
Renault détient actuellement 44,3% de Nissan tandis que ce dernier a 15% du groupe français.
Placer les entités de cinq pays différents sous un parapluie commun permettrait à la fois de développer la croissance dans ces pays et de réduire les dépenses liées à la construction d'usines et à la mise en place de réseaux commerciaux, écrit encore le Nikkei.
Kavyanjali Kaushik, avec Marie Mawad à Paris, Benoit Van Overstraeten pour le service français

Carrefour & Blue Capital sous la pression de Knight Vinke


La direction de Carrefour et les deux grands actionnaires du distributeur, les fonds Colony et Groupe Arnault, vont devoir faire face aux pressions d'un nouvel arrivant, l'américain Knight Vinke, opposé aux projets de scission du groupe français.
Knight Vinke, qui détient plus de 1% du capital de Carrefour, s'oppose au projet de scission d'une partie de la filiale foncière (Carrefour Property) et de la totalité de la filiale de hard discount (Dia) du deuxième distributeur mondial.
"Nous confirmons parler à de grands actionnaires de Carrefour pour recueillir leur opinion concernant les projets récemment annoncés par Carrefour", a déclaré à Reuters mercredi un porte-parole du fonds, confirmant une information du magazine Challenges faisant état de l'opposition du fonds à la stratégie du groupe (voir
Interrogé, Carrefour s'est refusé à tout commentaire.
Amundi, qui détenait fin 2010 0,76% du capital de Carrefour selon des données Reuters, a confirmé de son côté avoir été contacté par Knight Vinke.
"En regardant l'historique de Knight Vinke, on voit qu'il a eu un certain succès quand il a voulu influer sur la stratégie des groupes dans lesquels il était entré", commente un analyste qui a souhaité garder l'anonymat.
Le fonds activiste américain a révélé détenir sa participation juste une semaine après l'annonce d'un projet de scission de Carrefour mal accueilli par les investisseurs.
Pour contrer les plans de Carrefour, il lui faudra, selon les calculs des analystes, convaincre environ 25% des actionnaires du groupe, en faisant l'hypothèse qu'environ 75% des votants sont représentés en moyenne en assemblée générale extraordinaire et qu'il faut obtenir le tiers des votes pour faire capoter le projet.

L'assemblée générale de Carrefour aura lieu le 21 juin.
UN FONDS ACTIF DANS D'AUTRES AFFAIRES
Knight Vinke a pour tactique d'acquérir de petites participations dans de grands groupes pour ensuite persuader les actionnaires de changer la stratégie de l'entreprise concernée.
Il a déjà fait pression sur le groupe bancaire HSBC et a contribué à la scission et l'introduction en Bourse de Suez Environnement pour faciliter la fusion entre GDF et Suez.
Après deux profits warning successifs, le numéro deux mondial de la distribution derrière l'américain Wal Mart était depuis des mois sous la pression de Blue Capital, la structure regroupant les deux grands actionnaires du groupe, le fonds Colony et le groupe Arnault, holding familiale de Bernard Arnault, PDG de LVMH (qui détiennent 14% du capital et plus de 20% des droits de vote), pour externaliser de la valeur.
Les dividendes exceptionnels versés aux actionnaires à l'occasion de la scission atteindront, selon Carrefour, 4,09 milliards d'euros.
Actionnaires de référence du groupe depuis mars 2007, Colony et Groupe Arnault ont acquis leur participation pour un prix moyen évalué à environ 47 euros par action, un niveau encore très supérieur au cours actuel du titre, et auquel s'ajoute le coût de la dette contractée pour financer leur participation.
Le projet de mise en Bourse de 25% de Carrefour Property et de la totalité de Dia, annoncé le 2 mars, a été sanctionné par le marché. Les investisseurs s'interrogent sur le bien-fondé d'une opération voulue par les principaux actionnaires et sur les marges de manoeuvre dont dispose le groupe pour mener à bien son plan de redressement.
Le titre Carrefour se traite à 31,7 euros mercredi à la Bourse de Paris, enregistrant une hausse de 2,4% depuis le début de l'année, pour une capitalisation boursière de 21,5 milliard d'euros. Depuis l'annonce du projet de scission, le titre a abandonné 9,6%.

Le FMI relève sa prévision de croissance dans la zone euro


Le Fonds monétaire international (FMI) a relevé mardi sa prévision de croissance pour la zone euro en 2011, à +1,6% contre +1,5% prévu initialement, selon l'agence de presse italienne Ansa, qui s'est procurée un rapport du FMI sur les perspectives économiques mondiales.
Pour 2012, le FMI table désormais sur une croissance de 1,8%, au lieu des 1,7% annoncés lors d'une précédente estimation.
En revanche, l'organisme international abaisse ses perspectives de croissance aux Etats-Unis en 2011, de +3% à +2,8% mais relève celles de 2012, de +2,7% à +2,9%.
Conséquence du violent séisme qui a secoué le pays début mars, le Japon voit sa perspective de croissance abaissée en 2011 à +1,4%, contre +1,6% prévu initialement. En 2012, l'estimation est en revanche relevée de +1,8% à +2,1%.
Le FMI maintient ses perspectives sur la croissance chinoise, à +9,6% en 2011 et +9,5% en 2012, ainsi que sa prévision de croissance mondiale en 2011 à +4,4%.
Les estimations de croissance pour l'Inde ont été révisées à la baisse pour 2011 et 2012, passant respectivement de +8,4% à +8,2%, et de +8,0% à +7,8%.
Le rapport sera publié en avril par le FMI.

La France compte sur Pékin pour sa présidence du G20


Nicolas Sarkozy a défendu mercredi la nécessité de discuter avec la Chine de tous les sujets, y compris ceux qui sont source de désaccord, et dit qu'il comptait sur Pékin pour faire avancer les priorités de la présidence française du G20.
Le chef de l'Etat français, qui entamait une courte visite en Chine, a justifié en outre les investissements des entreprises françaises dans le pays, déclarant qu'elles ne pouvaient être absentes du marché de la deuxième économie mondiale.
Même si la France et la Chine ne sont pas d'accord sur tout, "on a obligation de discuter pour se comprendre et pour faire avancer les choses", a-t-il dit lors de l'inauguration des locaux de la nouvelle ambassade de France dans la capitale chinoise.
"La France, présidente du G20, a besoin de la participation de la Chine pour faire avancer tous les grands dossiers qui vous concernent vous, les chefs d'entreprise", a-t-il ajouté devant un public qui comprenait des représentants de plusieurs groupes français implantés en Chine.
Il a évoqué plus particulièrement "les prix des matières premières, qui explosent", l'instabilité monétaire "qui risque de réduire à néant les efforts de compétitivité que vous faites" ou encore "la paix dans le monde".
Nicolas Sarkozy ouvrira jeudi à Nankin, dans le sud-est de la Chine, les travaux d'un séminaire de réflexion sur les moyens de réformer le système monétaire international, une des priorités de sa présidence du G20.
La France estime que le fait que la Chine, souvent accusée de maintenir sa monnaie artificiellement sous-évaluée, ait accepté d'accueillir la manifestation est un succès en soi.
Avant de partir mercredi soir pour Nankin, Nicolas Sarkozy, dont c'est la cinquième visite en Chine depuis son arrivée à l'Elysée, a rencontré son homologue chinois, Hu Jintao, pour discuter des relations bilatérales et des grands sujets diplomatiques de l'heure, au premier chef la situation en Libye.
Bien qu'elle se soit abstenue lors du vote le 17 mars de la résolution de l'Onu qui a autorisé une action militaire internationale pour protéger les opposants au colonel Mouammar Kadhafi, la Chine multiplie depuis les mises en garde et a critiqué sévèrement, via ses médias officiels, les interventions militaires en Libye de la coalition internationale.
"Il n'y a pas de divergences mais des nuances, une différence d'appréciation", a-t-on rapporté de source proche de la présidence française après l'entretien entre Nicolas Sarkozy et Hu Jintao.
"Face à une interrogation un peu inquiète de la partie chinoise, Nicolas Sarkozy a rappelé les termes de la résolution 1973 dont l'objet est de protéger les populations civiles", a-t-on ajouté. "Il est clair que les frappes s'arrêteront dès que les troupes de Kadhafi retourneront dans leurs casernes."
Plus de 2.000 entreprises françaises sont présentes en Chine et Nicolas Sarkozy a souligné qu'elles étaient guidées avant tout par le souci de s'ouvrir à ce grand marché.
"Dans la majorité des cas, cela ne conduit pas à fermer des usines et supprimer des emplois en France", a-t-il dit, ajoutant: "Votre présence ici est indispensable pour s'inscrire dans les perspectives du marché chinois et participer à la compétition économique qui s'y joue".
COOPÉRATION NUCLÉAIRE
Il les a invitées à ne pas hésiter "à expliquer l'impact positif que vos activités en Chine peuvent avoir sur la croissance et sur l'emploi en France".
Venu en Asie spécialement pour le séminaire du G20 de Nankin, Nicolas Sarkozy a décidé de prolonger sa visite par une courte étape à Tokyo, "pour porter l'expression de la solidarité de la France à l'endroit de nos amis japonais, qui ont été frappés par une catastrophe considérable".
Premier dirigeant étranger à se rendre au Japon depuis le tremblement de terre et le tsunami dévastateurs qui ont fait des dizaines de milliers de morts le 11 mars, il rencontrera une partie de la communauté française locale avant de s'entretenir avec le Premier ministre, Naoto Kan.
La France a dépêché des experts pour aider les autorités japonaises à tenter de reprendre le contrôle des réacteurs endommagés de la centrale nucléaire de Fukushima.
Lors de leur entretien, Nicolas Sarkozy et Hu Jintao sont convenus de renforcer leur coopération en matière de sécurité nucléaire et de travailler main dans la main pour tirer toutes les conséquences de la catastrophe de Fukushima, rapporte une source française.
Selon cette même source, Hu Jintao a fait part de son inquiétude sur l'incidence des mouvements qui secouent le monde arabe sur les équilibres de l'économie mondiale, en particulier les marchés pétroliers.

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